«Bye Bye 2023» : les apparitions surprises marquantes
Le Journal de Montréal
Louis Morissette, Patsy Gallant, Patrick Huard et la distribution de «Chambres en ville» ont fait des apparitions surprises, dimanche soir, dans le Bye Bye.
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Le réalisateur Simon-Olivier Fecteau et sa bande et ont laissé cette année une grande place aux «caméos» pour soutenir le noyau principal de comédien, composé de Guylaine Tremblay, Sarah-Jeanne Labrosse, Pierre-Yves Roy Desmarais et Claude Legault.
Le chef d'orchestre des «Bye Bye» de 2008 à 2013, Louis Morissette, a effectué un retour dans la revue annuelle du 31 décembre, sous les traits de Martin Matte pour un pastiche – réussi – du talk-show Matin Matte en direct, intitulé pour les biens de la cause Martin Matte en détresse.
Francis Reddy, Patricia Paquin, Anne Dorval, Gilbert Lachance, Gregory Charles et Vincent Graton sont quant à eux retournés à la pension de Louise DesChâtelets, 30 ans plus tard, dans la reprise du téléroman Chambres en ville. Ce sketch a notamment abordé les «rénovictions», la pénurie de logements et les hausses successives des taux hypothécaires,
Au lendemain de la «chicane de famille» en direct à Tout le monde en parle, l’animateur Guy A. Lepage et le producteur Guillaume Lespérance sont encore soufflés des révélations de Dany Turcotte, qui a dévoilé s'être senti abandonné par le noyau dur de l'équipe, dans sa toute nouvelle autobiographie.
Au printemps 2020, Mégan Brouillard croyait partir en tournée provinciale avec ses comparses finissants de l’École nationale de l’humour. Mais une certaine pandémie a mis son rêve sur la glace. Ne sachant que faire, la Drummondvilloise est retournée vivre dans le sous-sol de ses parents et s’est mise à faire des vidéos sur TikTok. C’est là que tout a «explosé». À peine quatre ans plus tard, la voici qui présente son premier spectacle solo, Chiendent. Le Journal a rencontré l’humoriste de 25 ans au sens de la répartie aiguisé et qui a fait une entrée fracassante dans le milieu.
«La guerre, la guerre, c’est pas une raison pour se faire mal»... Il y a 40 ans, le public québécois craquait en entendant cette réplique pacifique savoureuse dans le film culte La guerre des tuques. Pour souligner le 40e anniversaire de sa sortie en salle, Le Journal revient sur la création et l’immense héritage de ce classique intemporel qui a marqué des générations d’enfants et d’adultes.
À l’été 2020, une vague de dénonciations avait emporté plusieurs artistes, dont Kevin Parent, qui avait alors été visé par des allégations d’inconduites sexuelles. Largué rapidement par son agence, le chanteur s’était excusé dans une vidéo s’il avait «fait de la peine à des gens», ajoutant qu’il allait payer ses dettes et essayer de s’améliorer comme être humain. Quatre ans plus tard, en entrevue avec Le Journal, Kevin Parent revient sur cette période trouble qui a chamboulé sa vie.