
Planeta ou les multiples visages de la Sicile
Le Journal de Montréal
La Sicile est aujourd’hui l’une des régions viticoles les plus dynamiques d’Italie. Bien malin qui aurait prédit une telle chose il y a 30 ans. N’empêche, alors que la critique n’en avait encore que pour le Piémont et la Toscane, la plus vaste des îles de la Méditerranée suscitait déjà l’intérêt de chasseurs de terroirs avant-gardistes. Car, terroir il y a. De très beaux d’ailleurs ! Et ces derniers ont de moins en moins de secrets pour la famille Planeta.
Vu de l’extérieur, Planeta peut donner l’impression d’un très vaste domaine viticole, mais dans les faits, l’entreprise familiale est plutôt une collection de propriétés satellites qui gravitent autour de Menfi, son noyau historique. Depuis le vignoble d’Ulmo, planté en 1985 sur les rives du lac Anancio, les Planeta ont d’abord repoussé leurs horizons vers Vittoria et Noto, à la pointe sud de l’île, puis vers le flanc nord du mont Etna, où ils ont développé un vignoble à compter de 2008, et enfin vers Capo Milazzo, au nord-est, juste en face des îles Éoliennes, où ils ont planté du nocera, un vieux cépage rarissime qui ne couvre que 43 hectares en Italie. Il s'agit donc de cinq domaines viticoles dans différents secteurs de cette isle mosaïque, dont chacun a sa personnalité et son histoire. Ensemble, ils illustrent toute la richesse et la diversité de la Sicile.
Au-delà de la géographie et de l’aménagement du territoire, Francesca et Alessio Planeta, aidés par leur équipe technique performante et leur brillante œnologue en chef, Patricia Tóth, sont toujours à l’affût de nouvelles manières de mettre en bouteille toute la complexité du terroir sicilien. Et parce que le terroir s’exprime mieux dans un écosystème en santé, Planeta s’est dotée d’une ambitieuse politique de développement durable (SOStain) et elle multiplie les initiatives en ce sens, notamment par des pratiques agricoles, œnologiques et architecturales respectueuses de l'environnement, mais aussi par une charte éthique et un engagement social auprès d’ONG locales et internationales. Une entreprise saine dans un milieu florissant. Ça donne soif, non?
1. Planeta, La Segreta Il Bianco 2020, Sicilia Doc

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.





