
Pilule anti-COVID: une très bonne nouvelle!
Le Journal de Montréal
Nous avons tous désespérément besoin de bonnes nouvelles par les temps qui courent, et l’approbation du médicament antiviral Paxlovid en est toute une !
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Cette approbation était anticipée étant donné les résultats spectaculaires obtenus lors des essais cliniques, où on a noté une réduction de 90 % du risque de formes graves (hospitalisations et décès) de COVID-19, et ce, sans effets secondaires notables.
Nouvelle thérapie
Ce médicament ajoute donc une dimension thérapeutique nouvelle dans la lutte au coronavirus, indépendante de l’activité de notre système immunitaire. La vaccination demeure un pilier de notre approche face au virus, mais l’émergence de variants comme Omicron, capable de contourner en partie la protection immunitaire offerte par les vaccins, a permis au variant d’infecter un très grand nombre de personnes. L’arrivée sur le marché d’une molécule antivirale efficace, qui bloque l’infection par l’ensemble des variants du coronavirus, incluant Omicron, apporte donc une bouffée d’air frais dans la lutte à la COVID-19. D’autant plus que ce médicament est administré oralement, ce qui permet une plus grande flexibilité dans son utilisation que pour d’autres médicaments qui doivent absolument être donnés aux patients à l’hôpital par intraveineuse. Le Paxlovid doit cependant être administré dans les 5 premiers jours de l’infection pour être efficace.
Même principe que pour le SIDA
Le succès de la molécule réside dans l’élégance biochimique de son mécanisme d’action : le Paxlovid a été développé pour bloquer spécifiquement une enzyme (la protéase Mpro) du SARS-CoV-2, ce qui empêche la production de protéines essentielles à la survie du virus et le rend incapable de se répliquer. C’est le même principe que celui des médicaments modernes contre le Sida et l’hépatite C et qui ont révolutionné le traitement de ces maladies.
Une redoutable arme de plus dans notre arsenal scientifique qui nous permettra de gagner la guerre contre ce virus !

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.





