
Après avoir envisagé la disparition des témoins tiers, Google va plutôt les conserver
Le Journal de Montréal
Il y a près de cinq ans, Google annonçait son projet de supprimer progressivement l’utilisation de témoins (cookies) tiers dans son navigateur Chrome. Mais le géant Internet est revenu sur cette option.
Selon Anthony Chavez, vice-président de Google Privacy Sandbox : « Nous avons décidé de maintenir notre approche actuelle consistant à offrir aux utilisateurs le choix d'accepter ou de refuser les témoins tiers dans Chrome, et nous ne déploierons pas de nouvelle invite autonome pour les témoins tiers, dans un blogue publié le 22 avril. Les utilisateurs peuvent continuer à choisir l'option qui leur convient le mieux dans les paramètres de confidentialité et de sécurité de Chrome. »
Un témoin Internet (cookie en anglais) est essentiellement un petit fichier qui est enregistré sur votre ordinateur lorsque vous visitez un site web. Les témoins stockent des informations pertinentes sur l'utilisateur afin d'améliorer son utilisation. Lorsqu'un site web se souvient de vos identifiants de connexion ou qu'une boutique en ligne a déjà enregistré votre dernier panier, c'est grâce au témoin stocké dans votre navigateur web.
De leur côté, les témoins tiers sont couramment utilisés par les annonceurs. Par exemple, lorsqu'un utilisateur recherche un produit en ligne et trouve ensuite des publicités pour ce produit sur Instagram, c'est grâce à un témoin tiers.
Ils permettent ainsi à des courtiers publicitaires de créer des profils détaillés de vos activités en ligne. Des profils qui peuvent être revendus à des fins de publicité ciblée ou vendus au plus offrant.
Tout votre historique de navigation peut révéler d’importantes informations vous concernant; votre santé physique ou financière. Ces courtiers en données collectent et vendent ces informations à votre insu et sans votre consentement.
Aujourd'hui, Google a abandonné ces projets et conservera les témoins tiers sans aucun changement – une décision saluée par justement ces entreprises en publicité en ligne.
Si les navigateurs Firefox et Safari bloquent déjà par défaut les témoins tiers, Chrome, lui (propriété de Google) expose ses utilisateurs internautes aux témoins tiers.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.





