
Sur les rails au Vermont
Le Journal de Montréal
Non loin du lac Champlain, au Vermont, à une quinzaine de kilomètres au sud de Burlington, il est possible de découvrir un pan de l’histoire ferroviaire de la Nouvelle-Angleterre au cœur d’un immense musée qui se consacre à l’art populaire et l’histoire des États-Unis.
Le site et les collections du musée Shelburne sont vastes. On n’y compte pas moins de 39 bâtiments répartis sur 45 hectares aménagés. Parmi ceux-ci, 25 exemples de l’architecture de la Nouvelle-Angleterre ont été relocalisés sur le site afin d’offrir un cadre historique aux différentes expositions. On y trouve même une surprenante collection de toiles de maître impressionnistes, dont des Monet, des Manet et des Degas, un grand bateau à aubes du lac Champlain, pesant près de 900 tonnes, mais aussi une locomotive à vapeur et l’ancienne gare ferroviaire de la ville de Shelburne.
Cette dernière y a été relocalisée par Electra Havemeyer Webb, la fondatrice du musée qui affectionnait particulièrement l’art, mais aussi la conservation des artéfacts d’époque.
Construite en 1890 près du centre de Shelburne, la gare desservait les passagers des chemins de fer du Central Vermont Railway. Ce dernier occupe une place à part dans l’histoire des chemins de fer de l’Amérique du Nord, reliant le Vermont au Connecticut, au Massachusetts, au New Hampshire, à New York, mais également à Montréal durant près de 70 ans. La société ferroviaire a d’ailleurs appartenu pendant plus de 70 ans au gouvernement du Canada qui en assurait aussi l’exploitation en offrant un accès direct aux marchés de la Nouvelle-Angleterre, tant pour les passagers que pour la marchandise. Cette ligne a assuré notamment le développement de l’industrie laitière naissante du Vermont en donnant accès aux marchés du lait, du beurre et du fromage.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.



