Possible grève dans le secteur ferroviaire: des conséquences qui seraient «catastrophiques» sur l’économie
TVA Nouvelles
La grève et le lock-out qui pourraient se déclencher jeudi au CN et au Canadien Pacifique Kansas City (CPKC) entraîneraient des conséquences «catastrophiques» sur l’économie de la province, au point où l’aide du gouvernement est sollicitée.
• À lire aussi: Conflit de travail dans les chemins de fer: le patronat du Québec demande à Ottawa d’intervenir
• À lire aussi: Conflit de travail dans le secteur ferroviaire: vers une hausse du prix des véhicules neufs?
• À lire aussi: Grève et lock-out des trains: quelles conséquences pour l’industrie du camionnage?
Une rencontre à ce sujet est prévue mardi soir à 18h entre le ministre du Travail du Canada, Steve MacKinnon, et le syndicat qui représente les employés du CPKC et le CN, qui avait déposé un préavis de grève de 72 heures.
Cette menace d’interruption des services du transport ferroviaire pourrait avoir des conséquences «catastrophiques» sur l’économie de la province.
«Les trois quarts des produits ou des appareils qui sont chez vous proviennent du transport ferroviaire», indique le président et chef de la direction du Conseil du patronat du Québec (CPQ), Karl Blackburn.
À moins de 48 heures d’une grève et d’un lock-out, l’objectif principal de cette rencontre est que les deux parties s’entendent au sujet des conventions collectives.
