
Oui, on peut installer Windows 11 sur son Mac à puce M1, mais il y a un hic
Le Journal de Montréal
Les nostalgiques de la firme à la pomme se souviendront de leurs premiers ordinateurs équipés du processeur PowerPC fabriqué par le duo IBM et Motorola.
Quand Apple a décidé de passer au processeur Intel, pour les éditeurs et développeurs de logiciels, la pilule fut difficile à passer. Il leur a fallu recompiler tous leurs programmes. Mais, du même coup, une foule de logiciels existants et écrits pour Intel devenaient plus accessibles au système Mac OS X. De plus, on pouvait installer et rouler Windows sur une partition du disque dur de son Mac.
Deux systèmes sur un ordinateur plutôt que deux, ce sont de gros avantages tant pratique qu’économique – et de légèreté dans le cas d’ordinateurs portatifs.
Tout récemment, Apple a effectué une nouvelle transition, cette fois en adoptant ses propres systèmes sur puce de type ARM à la place des processeurs Intel dans ses ordinateurs MacBook (Pro), Mac mini, Mac Studio et iMac qui, dorénavant, portent le suffixe M1 (ex. : MacBook Pro M1).
Entre la première et cette seconde transition, Apple est devenu le géant que l’on connaît avec une capitalisation boursière de 2608 milliards de dollars américains. Disons que la transition des processeurs Intel aux systèmes sur puce M1 d’Apple s’est beaucoup mieux passée puisque cette puce est la même que dans les appareils mobiles du groupe (iPhone, iPad).
Revers à ce passage aux systèmes sur puce, il n’est plus possible d’installer Windows sur son Mac M1, même en installant une machine virtuelle de Parallels ou de VMware. Si vous tenez à faire rouler une version Windows sur un ordinateur Mac, seules les machines Intel restent compatibles. Mais il y a une exception.
Pour rouler Windows sur un Mac M1, il faut deux logiciels : une machine virtuelle Parallels 17 (sans concurrence pour le moment) et le système d’exploitation Windows 11 version ARM qui est tout récent dans le catalogue Microsoft.
Parallels est un programme de machine virtuelle, ce qui signifie qu'il exécute un système d'exploitation distinct dans un ordinateur simulé (appelé machine virtuelle) sur votre Mac. Avec Parallels, vous pouvez exécuter les applications Windows en parallèle avec les applications Mac.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.




