
Où le gouvernement fédéral pourrait couper pour faire des économies
Le Journal de Montréal
Même en excluant la pandémie, le gouvernement Trudeau a dépensé plus par personne que le fédéral ne l’a fait durant la grande dépression ou les deux guerres mondiales en dollars constants, gonflant le déficit à plus de 60 milliards $. S’il veut sortir du rouge, le prochain gouvernement devra trouver de l’argent. Où et comment? Luc Godbout, titulaire de la Chaire en fiscalité et en finances publiques de l’Université de Sherbrooke, indique quels programmes sont à risque en cas de compressions budgétaires et où il serait possible de trouver de l'argent.
• À lire aussi: Où couperiez-vous? Voici comment le gouvernement Trudeau dépense votre argent
• À lire aussi: Le gouvernement Trudeau laisse les coffres dans le rouge, son successeur devra trouver de l’argent
Augmentation du taux d’inclusion des gains en capital
Introduite dans le budget 2024, cette mesure aurait pu rapporter à l’État 17,4 milliards de dollars d’ici 2028‐2029, selon les calculs du directeur parlementaire du budget. Mais les conservateurs se sont engagés à l’abolir, de même que les libéraux Mark Carney et Chrystia Freeland, qui en est pourtant à l’origine.
Régime canadien de soins dentaires
Le régime pourrait être aboli ou bien repensé afin d’inclure une contribution de tous les Canadiens de sorte que le programme s’autofinance. Son effet sur le solde budgétaire du gouvernement serait ainsi nul. Le prochain gouvernement pourrait aussi revoir les seuils d’admissibilité.
Il conviendrait également de se demander s’il est judicieux que le fédéral finance un tel programme plutôt que les provinces, note Michel St-Germain, ex-président de l’Institut des actuaires du Canada.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.



