
Non, le masque n’est pas tombé partout
Le Journal de Montréal
Débusquer les fausses nouvelles, vérifier les déclarations des politiciens, trouver les vrais chiffres : notre Bureau d’enquête, basé à Montréal, Québec et Ottawa, se spécialise dans l’art de rétablir les faits. Chaque samedi, nos journalistes et recherchistes vous présentent leurs trouvailles pour vous permettre d’y voir plus clair dans l’actualité de la semaine.
L'ÉNONCÉ
Mardi dernier, le chef du Parti conservateur du Québec, Éric Duhaime, se posait cette question sur Twitter : « La grande question qui demeure sans réponse : pourquoi il n’y a qu’au Québec, parmi les 10 provinces canadiennes et les 50 États américains, où la science dicte le maintien du [masque] obligatoire ? »
LES FAITS
M. Duhaime a raison, mais seulement en partie. Le Québec est le dernier État ou province en Amérique du Nord à obliger le port du masque dans tous les endroits publics. Ailleurs, le masque reste toutefois nécessaire dans certains lieux considérés à haut risque.
Selon les recommandations du U.S. Centers for Disease Control and Prevention (CDC), le port du masque est nécessaire dans les prisons, les hébergements pour itinérants, les hôpitaux et les centres de soins de longue durée. Plusieurs États exigent le masque dans ces contextes.
Au Canada, il est toujours nécessaire de porter un masque en avion et en train. Dans la plupart des provinces, il reste obligatoire pour le moment dans certains lieux publics. Par exemple, en Ontario et en Alberta, il faut le porter dans les transports publics, les établissements de santé et les centres de soins de longue durée.
– Philippe Langlois

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









