
IA: un robot conversationnel suscite la controverse à la TÉLUQ
Le Journal de Montréal
L’utilisation d’un robot conversationnel pouvant répondre aux questions d’étudiants suscite la controverse à la TÉLUQ: alors que l’établissement universitaire affirme innover en ayant recours à l’intelligence artificielle de façon encadrée, le syndicat représentant les tuteurs «s’insurge» contre ce projet-pilote «inédit» qui représente une «menace» pour la qualité de l’enseignement.
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Il s’agirait d’une première dans le réseau universitaire québécois: depuis le début de la session d’hiver, un «prototype de robot conversationnel» a été mis à la disposition des étudiants dans quatre cours, dans le cadre d’un projet-pilote de la TÉLUQ.
Ce robot, qui a été «entraîné à partir du matériel pédagogique» de chacun des cours, «répondra rapidement et en tout temps à des outils de compréhension sur les contenus pédagogiques du cours», peut-on lire dans un bulletin interne de l’établissement.
Ce robot est présenté comme un «outil complémentaire pour renforcer l’apprentissage».
Dans trois autres cours, deux «applications d’apprentissage» alimentées par l’intelligence artificielle seront utilisées pour générer des questions d’exercices, «adaptées au profil de chaque étudiant», précise-t-on.
La TÉLUQ a voulu mener cette «expérimentation», dans le contexte où la population a maintenant accès à ces robots conversationnels depuis l’apparition de ChatGPT, il y a maintenant plus d’un an.
«Ces outils-là existent et comme institution, on a la responsabilité d’offrir un environnement le plus sécuritaire possible et de guider les étudiants dans cette utilisation», affirme le directeur de l’enseignement et de la recherche, Marc-André Carle.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.





