
«Mon père (de 73 ans), c'est le ultimate swiftie»: l'humoriste David Beaucage raconte son voyage en famille à Toronto pour un concert de Taylor Swift
Le Journal de Montréal
«Mon père, c’est le ultimate swiftie», lance l’humoriste David Beaucage à propos de la passion que voue son papa, Denis Gauvreau, pour Taylor Swift. Pour se préparer pour le concert de la chanteuse qu’ils sont allés voir en famille à Toronto, l’homme de 73 ans a réécouté l’entièreté de sa discographie deux fois, regardé son spectacle sur Disney+ et imprimé la liste des chansons en quatre exemplaires. «Il s’est préparé comme s’il allait à un opéra!» dit David en riant.
Cette semaine, David Beaucage a partagé sur Instagram une vidéo de son voyage à Toronto avec ses parents et son frère. Les quatre se sont rendus dans la Ville Reine le 22 novembre pour assister à l’un des six concerts que Taylor Swift donnait au Rogers Centre.
La vidéo, vue plus de 36 000 fois en moins de 24 heures, nous expose surtout la passion du paternel Denis pour la chanteuse. En entrevue avec Le Journal, David Beaucage mentionne ne pas avoir exagéré. Son papa lit tout ce qui se publie sur l’Américaine.
«Il lit tous les Economist, Globe & Mail, peu importe. Il les a tous sur Taylor. Quand il a su qu’on s’en allait voir le show, il s’est mis à nous envoyer des articles quotidiennement sur elle.»
«Elle parle sans complexe du quotidien»
Pourquoi Denis Gauvreau aime-t-il Taylor Swift à ce point? Dans une autre vidéo, David a posé la question à son père. «C’est une personne qui compose, qui chante, qui produit ses propres chansons et ça, c’est assez exceptionnel, répond Denis. C’est quelqu’un qui parle sans complexe du quotidien, qui raconte des histoires. Enfin, ce qui est assez remarquable, c’est que c’est une artiste qui a aussi un souci très profond de la qualité de la production.»
«Je connais tous ses disques presque par cœur, poursuit-il. C’est une artiste exceptionnelle. Il n’y a pas de phénomène comme Taylor Swift depuis les Beatles dans les années 1960. Et je suis assez vieux pour m’en souvenir. Taylor Swift is the best!»
C’est grâce à un concours auprès de sa banque que David Beaucage a pu acheter quatre billets pour Taylor Swift à Toronto. À l’intérieur du Rogers Arena, l’humoriste a rapidement remarqué qu’il y avait très peu d’hommes parmi les 49 000 spectateurs. «Les toilettes des gars étaient abandonnées. Et de tous les gens que j’ai croisés, je n’ai pas vu quelqu’un de plus vieux que mon père.»
