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«La radio m’a sauvé» – Maxim Martin

«La radio m’a sauvé» – Maxim Martin

Le Journal de Montréal
Tuesday, October 12, 2021 02:08:29 AM UTC

Maxim Martin ne se formalise pas du retour des masques dans les salles de spectacles. « Pour nous, en tant qu’humoristes, entendre un rire, c’est tout ce qu’on a besoin », dit celui qui promène sa tournée Fuckoff cet automne, tout en continuant d’animer sur les ondes d’Énergie.

Maxim Martin avait lancé sa nouvelle tournée depuis à peine quatre mois quand la pandémie a frappé, au printemps 2020. « En incluant le rodage, on était rendu à 75 shows, se souvient-il. Ç’a été un deuil difficile parce que ça s’annonçait pour être ma meilleure tournée. Tout ce que j’avais travaillé depuis des années, toutes les rivières rejoignaient le même lac. [...] Pour la première fois de ma carrière, je n’avais jamais autant de supplémentaires et de spectacles sold out. »

Ce qui l’a aidé à ce moment-là, quand tout a arrêté ? Le fait qu’il animait quotidiennement une émission à la radio (Ça rentre au poste, à Énergie). 

« C’est sûr que la radio m’a sauvé, dit-il. Je continuais de travailler, de gagner ma vie. On a été chanceux, on n’a jamais fait d’émission de la maison. On a toujours été en studio. Donc, du lundi au vendredi, je sortais de chez moi, je voyais du monde. Je n’étais pas pris à la maison devant Netflix. »

Après avoir passé des mois à ne faire rire que ses collègues, Marie-Claude Savard et Sébastien Trudel, Maxim Martin était heureux de retourner dans les salles, quelle que soit leur capacité. 

« Le premier spectacle que j’ai fait [après le confinement], c’était à Drummondville. La veille, la capacité avait passé de 250 à 170 personnes. Le diffuseur me disait de ne pas capoter. Je lui ai répondu que ça faisait un an et demi que j’avais un public de deux personnes, avec Marie-Claude et Sébastien. S’il y a plus de trois personnes qui rient, ma vie vient de s’améliorer ! »

Conditions difficiles

Depuis 19 mois, l’humoriste et ses collègues ont joué dans toutes sortes de conditions difficiles. 

« On a tout connu depuis le début de la pandémie, dit Maxim Martin. On a fait des spectacles devant nos ordinateurs où on n’entendait personne rire et on voyait juste des lèvres bouger. Après, quand on a commencé à pouvoir roder un peu dans les comédies clubs, comme Le Bordel, il n’y avait que 30 personnes. [...] Je me souviens quand j’étais retourné au Bordel, à l’été 2020. Je n’avais pas fait de show depuis le 11 mars. Il y avait 30 personnes et des plexiglas sur la scène et entre les spectateurs. Le monde était masqué. Et le premier rire que j’ai entendu, je suis devenu ému. »

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