
Salaire des fonctionnaires: un problème de transparence
Le Journal de Montréal
Le gouvernement du Canada et les sociétés d’État manquent de transparence en gardant secret le salaire de presque tous ses hauts dirigeants, déplorent des experts en administration publique.
Depuis plusieurs mois, notre Bureau d’enquête tente de compiler, comme il l’avait fait pour le Québec, le salaire des dirigeants des organismes fédéraux.
Nous avons notamment ramassé l’information contenue dans les décrets gouvernementaux fédéraux en plus de réaliser une dizaine de demandes d’accès à l’information.
Or, nous nous sommes butés à un mur d’opacité de la part du gouvernement. La très grande majorité des documents reçus après nos demandes d’accès à l’information ne comprenaient pas les informations demandées ou étaient complètement caviardés.
Selon François Dauphin, PDG de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques, il y a un «déficit de transparence» en ce qui concerne la rémunération par rapport à ce qui se fait au Québec. «Il n’y a pas d’uniformité sur la divulgation», dit-il.
Les documents envoyés étaient en effet complètement différents d’un organisme à l’autre.
Par exemple, le Service canadien du renseignement de sécurité a préféré garder secrets le prénom, le nom et le salaire de ses dirigeants. Il a seulement envoyé une liste de postes.
La Société canadienne d’hypothèques et de logement nous a envoyé une liste contenant une seule ligne qui dit «vice-président» et une fourchette de salaire. Même chose pour Radio-Canada.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.


