Les familles d’accueil, là où les enfants peuvent «retisser les liens»
TVA Nouvelles
Grâce à sa famille d’accueil qui l’a suivie de près pendant plusieurs années, Dominique Lamarre s'estime chanceuse d’avoir désormais une carrière, des enfants et une figure maternelle sur qui elle peut compter.
Il y a 22 ans, Suzanne Gagnon accueillait Dominique, à l’époque âgée de 4 ans, dans son foyer. Dominique y est resté pendant 14 ans, soit jusqu’à ce qu’elle atteigne sa majorité. Les deux femmes ont gardé contact depuis.
«J’étais confiante qu’elle soit encore là. Je n’étais pas toute seule», a avoué la jeune femme.
«Dominique a une grande résilience. Les enfants de la DPJ sont souvent des enfants très résilients», a ajouté Mme Gagnon.
«Je ne suis pas là en remplacement [des] mères, je suis là pour aider la famille à retisser les liens», a-t-elle poursuivi.
En 25 ans, Mme Gagnon a aidé 30 enfants à grandir, tout en prenant soin de ses trois enfants biologiques.
En Montérégie, on compte environ 800 familles d’accueil, mais le nombre ne suffit pas à la demande. La pénurie de familles d’accueil est notamment causée par les départs massifs vers la retraite.
Elle compte prendre sa retraite dans cinq ans, et trouve difficile de voir partir les enfants dont elle prend soin
En plus des « trappes à tickets » et des zones scolaires, les policiers et les agents de la Ville de Québec remettent des contraventions aux piétons, aux cyclistes et aux automobilistes ailleurs en ville. Voici quelques données marquantes concernant les infractions qui ont été commises sur le territoire de Québec entre 2021 et 2023