Les Chiens d'Anakim arrivent à Trois-Rivières
TVA Nouvelles
L'organisme Les Chiens d'Anakim, qui forme des chiens d'assistance pour des gens ayant des besoins particuliers comme l'anxiété ou des stress post-traumatiques, débarque à Trois-Rivières.
Les besoins ici sont grands, comme partout ailleurs depuis le début de la pandémie.
Audrey Caron fait partie des gens qui ont besoin de ce soutien. TVA Nouvelles a d'ailleurs assisté au travail de son chien d'assistance alors qu'elle s'est écroulée au sol lors d’une rencontre dans les locaux de l'organisme.
Vivant avec plusieurs problématiques, dont l'anxiété sévère, ça lui arrive souvent de perdre conscience lors de situations stressantes.
«Baska c'est ma liberté. C'est mon deuxième chien d'assistance que j'ai. Sans elle, je ne peux pas conduire, travailler, dormir, je vais à l'hôpital, je fais des commotions cérébrales», a raconté Mme Caron.
Depuis deux ans, son chien d'assistance l'aide à contrôler ses crises. C'est le rôle des animaux formés par l'organisme Les Chiens d'Anakim qui vient d'arriver à Trois-Rivières. Elle a d'ailleurs pu rejoindre l'entreprise et, de cette façon, travailler avec son compagnon.
«Aussitôt qu'elle voit que sa bénéficiaire ne va pas bien, elle va directement s'asseoir dessus et si elle est debout, elle va l'alerter et elle va lui sauter dessus. Un chien d'assistance n'a pas le droit de sauter, mais elle, c'est son alerte. C'est ce qu'il lui dit : ''ok, il faut que tu t'assoies, il faut que tu te mettes dans un endroit plus sécuritaire''», a expliqué la propriétaire et fondatrice de l'organisme, Sonia Baillargeon.
Anxiété généralisée, trouble du spectre de l'autisme, trouble de personnalité limite; les besoins sont nombreux et différents.
Pour Cédric Gauthier, un autre bénéficiaire, il s'agit d'un trouble post-traumatique.
L’hélicoptère dans lequel sont montés les trois évadés d’Orsainville a fort probablement été démantelé et enterré à Sainte-Béatrix, dans Lanaudière, et risque ainsi de ne jamais être retrouvé, estime l’enquêteur à la retraite Pierre Samson, qui a procédé à l’arrestation de ces fugitifs, il y a 10 ans.
À la TÉLUQ, la seule université québécoise où toutes les évaluations se déroulent en ligne, il est facile de tricher dans certains cours en utilisant ChatGPT lors d'examens virtuels, raconte un étudiant. La direction promet la mise en place «sous peu» d’un système de télésurveillance pour contrer ce phénomène.
Les signes de la cohabitation difficile entre les personnes sans-abri et les résidents de Montréal s’accumulent et font monter le sentiment d’insécurité au sein de la population, mais le président de la Mission Old Brewery soutient que les premières victimes de la crise de l’itinérance sont les personnes qui vivent dans la rue.