La gastro revient en force ce printemps
TVA Nouvelles
Le cauchemar de plusieurs parents a peut-être atteint leur domicile au cours des dernières semaines : les cas de gastro sont nombreux, et plus contagieux.
« C’est clair que la gastro est très, très présente », note le Dr Antonio d’Angelo, chef des urgences au Centre hospitalier universitaire Sainte-Justine.
Depuis le début de la pandémie de COVID-19, il y a deux ans, peu de virus ont circulé dans la communauté, notamment en raison des restrictions sanitaires.
« Le système immunitaire des gens s’est un peu endormi. Quand on est souvent exposé, c’est plus facile de combattre, souligne le Dr d’Angelo. Là, c’est la fête pour les virus, ils sont libres de nous attaquer. »
Selon lui, les gens qui l’attrapent sont malades plus longtemps cette année, ce qui fait que le virus est globalement contagieux sur une plus longue période.
« On voit des enfants qui restent malades plus longtemps, jusqu’à 10 jours. Ils n’ont pas très bien mangé, ils sont plus affaiblis quand ils arrivent à l’urgence », dit le médecin.
Pour le moment, les hôpitaux pédiatriques de Montréal ont noté une hausse des consultations à l’urgence pour des cas de gastro, mais pas au niveau des hospitalisations.
Alors que la plupart des établissements scolaires misent sur des ventilateurs sur pied ou l’offre de collations glacées pour rafraîchir les espaces en l’absence de climatiseurs, d’autres disent avoir mis en place des solutions présentées comme innovantes, mais qui sont dans les faits plutôt simples.
Un élève de quatrième secondaire qui échoue en français peut tout de même passer en cinquième secondaire dans cette même matière l’année suivante. S’il réussit alors ce cours, on considérera aussi que l’élève a rétroactivement réussi celui de quatrième secondaire, a appris Le Journal. Cette pratique est dénoncée par des syndicats d'enseignants alors que le ministre Bernard Drainville ne ferme pas la porte à d'éventuelles modifications.
Une foule de personnes s’est déplacée à l’École nationale d’aérotechnique (ÉNA) à Saint-Hubert pour assister à la nouvelle édition de l’Aérosalon 2024. Les nombreuses familles présentes ont eu la chance d’assister à des spectacles aériens ainsi que d’observer une soixantaine d’aéronefs en exposition.