La fois où Kovalev a refusé de faire les tests physiques
TVA Nouvelles
Jonathan Marchessault était de passage à L'après-match LNH pour parler des tests physiques au début des camps d'entraînement à travers la ligue.
Évidemment, cette journée en est une que les recrues comme les vétérans n'anticipent pas avec enthousiasme. La situation a bien changée aussi dans les dernières années, et on ne voit plus de joueurs arriver au camp d'entraînement avec des dizaines de livres en trop et complètement out of shape.
Cependant, Pascal Leclaire se souvient d'un camp d'entraînement particulier avec les Sénateurs d'Ottawa. À cette époque, il était coéquipier du favori de la foule montréalaise, Alex Kovalev. L'habile Russe avait accompli les tests physiques avec indifférence au camp d'entraînement des Sens. «Il faisait une répétition de bench-press et pas plus», raconte l'ancien cerbère dans la Ligue nationale de hockey.
Puis, lorsque c'était l'heure du fameux test du VO2 Max sur le vélo, les joueurs embarquent habituellement trois ou quatre minutes sur le vélo au préalable pour se réchauffer. Kovalev a fait la même chose, mais est débarqué du vélo après les trois minutes d'échauffement. La préparatrice physique lui a demandé ce qu'il faisait, ajoutant que le test n'était même pas encore commencé. Sa réponse? «I'm not doing it. What are they going to do? Cut me?», puis il est parti.
Vous pouvez entendre l'histoire complète dans le segment à partir de 6 minutes 20.
Oubliez le Powerball, la 6/49, le lotto max ou la Poule aux œufs d’or. La désormais célèbre loterie de la LNH, qui tient en haleine les directeurs généraux et les partisans des équipes exclues des séries éliminatoires, se tiendra mardi soir dans les studios de la LNH, à Seacaucus, dans le New Jersey.
«Je vais te résumer ça ainsi et je ne sais pas vraiment comme le dire sans déranger les gens, mais si Ivan jouait dans la LCH actuellement et qu’il avait la même visibilité que tous les autres espoirs en Amérique du Nord, il serait perçu comme le logique premier choix au total. Et je n’ai vraiment pas peur d’affirmer ça.»