
«C’est en moi, je le sais» : Aatos Koivu croit à son éventuelle éclosion
TVA Nouvelles
Le tir d’Aatos Koivu capte votre attention dès les premiers instants lorsqu’il embarque sur la patinoire. La détente ressemble à celle du franc-tireur moderne de la Ligue nationale de hockey.
Il ramène la rondelle vers lui avec le bout de sa palette et «woush», elle décolle le temps de le dire. De près, lors de l’entraînement de la Finlande au Ridder Arena à Minneapolis, cette arme est manifestement impressionnante.
On ne veut pas manquer de respect à son père qui a connu une superbe carrière. Si Aatos devient la moitié du joueur qu'était le paternel, ce sera merveilleux. Mais Saku n’avait pas cette façon de décocher dans son répertoire.
«Ce n’est certainement pas lui qui m’a appris ça!», lance immédiatement le jeune Koivu en boutade.
Lui-même ne pourrait trop vous dire il a appris ça où.

Des décisions difficiles pourraient attendre le Canadien plus tard cette saison, quand il accueillera le retour de tous ses joueurs à l’infirmerie. En embauchant Alexandre Texier et en faisant l’acquisition de Phillip Danault, le CH a mine de rien ajouté deux patineurs à sa formation sans sortir un contrat de l’équation.












