
Des fidèles compagnons de partout dans le monde
Le Journal de Montréal
Devant une hausse de popularité pour les chiens de compagnie durant la pandémie, de nombreuses familles ont choisi de se tourner vers l’adoption à l’international pour dénicher un compagnon à quatre pattes. Un beau projet sur papier qui peut toutefois apporter son lot de défis.
Samia Atmane et Michèle Augsburger Clairet Doucet, du refuge Sara Morocco à Agadir au Maroc, supervisent les adoptions au Québec depuis mars 2021.
En moins d’un an, elles ont procédé à l’adoption d’une cinquantaine de chiens.
« On voyait qu’il y avait un besoin ici au Québec qui était assez important », indique Mme Atmane.
Les pitous arrivent au Québec vaccinés, vermifugés et stérilisés pour la somme de 750 $, vols et transferts inclus. Ils sont tous conformes aux normes de Santé Canada et il y a un processus de jumelage pour s’assurer que le chien et l’adoptant sont compatibles.
« Et nos chiens s’adaptent assez bien. On n’envoie pas de chiens hystériques ni de chiots, ils sont trop fragiles, tient à préciser Mme Augsburger Clairet Doucet. Sur la cinquantaine de chiens adoptés au Québec, on a dû en replacer deux ».
De nombreux refuges coordonnent des adoptions à l’international.
Quatre chiens adoptés
Alexandrine Baril a adopté cinq chiens, dont quatre de pays étrangers. Chacun d’eux a une personnalité qui a exigé de l’ajustement, du temps et beaucoup d’amour. S’ils sont source de bonheur, il ne faut pas oublier qu’ils arrivent parfois avec une histoire qui n’est pas toujours rose.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.


