
Des critères précis à établir pour l'avenir Des critères précis à établir pour l'avenir
TVA Nouvelles
Lors des 20 ou 25 dernières années, les Canadiens ont connu certains succès ici et là.
Il y a eu les présences en finale de l’Association de l’Est en 2010 et celle en 2014 et, bien entendu, celle en finale de la Coupe Stanley l’an dernier. Selon moi, le dénominateur commun entre ces trois saisons-là fut les performances magistrales des gardiens de but.
En fait, depuis deux décennies, à chaque fois que les Canadiens se sont démarqués, c’est parce que le gardien, que ce soit José Théodore, Jaroslav Halak ou Carey Price, a été sublime et a transporté l’équipe sur ses épaules pendant la saison régulière et durant les séries éliminatoires.
Quand le gardien a été ordinaire, l’équipe l’a été tout autant. C’est comme si depuis 20 ou 25 ans, les succès des Canadiens passaient uniquement par les exploits des gardiens de but.
Lorsqu’il est devenu le 18e directeur général de l’équipe, Kent Hughes a affirmé vouloir établir une vision à long terme. «Quelle est notre identité?», s’est-il interrogé.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











