
Apprendre à vivre en mode slow
Le Journal de Montréal
Envie de ralentir et de rentrer à la maison ? Besoin urgent de décompresser ? Maxime et Cathia Morin invitent les lecteurs à trouver leur bonheur à l’intérieur de soi, dans un espace où on se sent parfaitement en paix, en accord avec ses valeurs profondes et essentielles. Elles partagent huit clés permettant d’ouvrir les portes de ce lieu accueillant prônant une vie plus slow dans leur nouveau livre, La petite maison.
Maxime Morin est entrepreneure et comédienne et enseigne la méditation et le yoga. Elle est cofondatrice de Rose Buddha, une entreprise de vêtements écoresponsables. Sa sœur, Cathia Morin, est psychothérapeute et enseigne aussi le yoga et la pleine conscience.
Ensemble, elles ont eu l’idée d’écrire La petite maison, un guide pratique où se trouvent des explications, des réflexions, des témoignages sur la quête de l’équilibre. Chacune des clés présentées par les sœurs Morin est conçue pour aider à trouver son propre équilibre, apprivoiser ses peurs, célébrer qui on est vraiment, se sentir mieux au quotidien.
Lorsque l’idée du livre s’est présentée, les deux sœurs débordaient d’enthousiasme et tout allait bien. Puis, Maxime a attrapé la COVID-19 et le virus s’est bien installé, devenant la COVID longue. Il va sans dire que bien des plans ont été chamboulés. Même si elle était bien au fait de l’importance d’avoir une vie plus douce, plus slow, elle s’est retrouvée à bout de souffle et a dû repenser son quotidien.
Faire des choix
C’est possible de ralentir, de mettre de côté les impératifs en tous genres et tout ce qui nous pousse dans le dos, tout le temps ?
« C’est pas de magiquement tout arrêter, déménager sur une île déserte et s’acheter des gougounes en liège. C’est pas ça, l’idée de ralentir, explique Cathia Morin. L’idée, c’est d’apprendre à ralentir à travers notre chaos, tout en faisant des choix. »
Les choix vont permettre de prioriser, de se débarrasser des stress inutiles.
« Des fois, on est dans plein de conseils d’administration, ou dans plein d’engagements qui ne nous servent pas vraiment ou qui sont plus là par pression sociale, mais qui ne viennent pas vraiment nourrir nos valeurs. Alors c’est juste des stress, ajoutés, ajoutés, ajoutés. »

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.


