«Le Parlementaire» se refait une beauté
TVA Nouvelles
Le restaurant du parlement à Québec s’est refait une beauté juste avant la pandémie tout en gardant des éléments historiques pour le plaisir des visiteurs.
Fréquenté par les touristes, le parlementaire ouvre ses portes à tous depuis 53 ans.
Le restaurant est situé dans l'ancienne chefferie de l'hôtel du Parlement, converti en restaurant en 1917, alors que Lomer Gouin était premier ministre du Québec.
«Au départ on pensait peut être récupéré ce plancher la au complet pour le restaurant(25) malheureusement il n'était pas récupérable ( ) on voulait garder c'est deux éléments à l'entrée pour faire un rappel que le restaurant à beaucoup d'histoire», mentionne Anthony Guerra, directeur du Service des restaurants de l'Assemblée nationale.
Parmi les rénovations majeures, une nouvelle cuisine a été construite à proximité de la salle à manger.
«On travaillait tous les produits dans la cuisine centrale au rez-de-chaussée pis on montait dans des montes charges toutes les plats avec des antidérapants des cloches le gros bordel , on faisait en bas à travers les caucus, à la cafétéria c'était le bordel au coup de feu , la maintenant on se concentre on a un endroit ou on s'occupe vraiment juste de la salle à manger c'est vous le voyez dans mes yeux c'est du pur bonheur.», dit le chef Martin Gagné.
Son bonheur, servir avec sa brigade une cuisine boréale, préparée le plus possible avec des herbes qui poussent dans les jardins du parlement.
«C'est magnifique, c'est un privilège pour un chef d'avoir accès à toute cette panoplie de choses là ... j'en ai la chair de poule juste à t'en parler», dit le chef.
Il n’y a pas seulement le menu nourriture qui est rempli de produits du Québec, les boissons également.
Alors que la plupart des établissements scolaires misent sur des ventilateurs sur pied ou l’offre de collations glacées pour rafraîchir les espaces en l’absence de climatiseurs, d’autres disent avoir mis en place des solutions présentées comme innovantes, mais qui sont dans les faits plutôt simples.
Un élève de quatrième secondaire qui échoue en français peut tout de même passer en cinquième secondaire dans cette même matière l’année suivante. S’il réussit alors ce cours, on considérera aussi que l’élève a rétroactivement réussi celui de quatrième secondaire, a appris Le Journal. Cette pratique est dénoncée par des syndicats d'enseignants alors que le ministre Bernard Drainville ne ferme pas la porte à d'éventuelles modifications.
Une foule de personnes s’est déplacée à l’École nationale d’aérotechnique (ÉNA) à Saint-Hubert pour assister à la nouvelle édition de l’Aérosalon 2024. Les nombreuses familles présentes ont eu la chance d’assister à des spectacles aériens ainsi que d’observer une soixantaine d’aéronefs en exposition.