
Une sortie au resto pas chère au Quartier DIX30
Le Journal de Montréal
La rentrée. «Boom.» Ce mot si fort qui évoque à la fois le mélange de fin d’été au parfum de nostalgie qui nous rentre dedans et le retour à une routine qui fait franchement du bien. Un cadre quotidien qui redresse tout, après des mois de repos et de relâchement qui étaient bénéfiques et nécessaires, et qui vient inévitablement avec des dépenses obligatoires qui étouffent nos portefeuilles déjà serrés.
On aurait bien pris un mois de plus de légèreté! Un mois de soleil et de repas festifs. On l’aura, grâce à la famille Labonté, qui inaugure tout le mois de septembre un menu dans ses quatre beaux restaurants du Groupe Dix30 à des prix abordables pour vrai de vrai.
Vous auriez dû voir le visage de mes enfants, à qui je claironnais d’apprécier les derniers jours de vacances avant un automne où les lunchs reprennent, où les sorties impromptues se feront rares, où on se couchera tôt, où on videra le frigo en réinventant les restants: «Finalement, on va au resto!» Pas trop conséquent, mais si excitant.
La directrice du développement organisationnel et des projets spéciaux de la famille Labonté, Andréanne Caron-Labonté, a rendu ce retournement possible avec le projet La rentrée des chefs. Une véritable aubaine pour la clientèle de l’un de leurs quatre établissements et qui permet de sortir au resto avec les cocos sans défoncer son budget.
La réalité des coûts pour les restaurateurs n’est pas moins difficile que pour les familles, et l’expérience qu’ils offrent jusqu’à la fin du mois m’est apparue surréaliste. Alors, parlons prix concrètement. Dans chacun de leurs restaurants, La Tomate Blanche, L’Aurochs Steakhouse-Salle à manger et L’Aurochs Steakhouse-Espace, on peut déguster un menu familial à trois services pour 45$. Et au restaurant Le Café du Théâtre Brasserie Française, attention, deux plats pour 40$ le midi comme le soir, un dessert inclus. Et le punch: une sélection de vino à moitié prix. Qu’on se le dise, là, on parle.
On s’est permis une tournée des grands ducs, où les saveurs nous ont chavirés. Comment vous dire à quel point la saison des récoltes est ma préférée! Je ne me remets pas de la crème de zucchinis et de tomates. J’aurais pris une dizaine de pots Mason pour emporter.
Moi qui mange rarement de la viande, j’ai plongé dans le rôti de bœuf classique avec purée de pommes de terre, légumes rôtis et sauce à la moutarde en espérant ne pas partager mon plat. Échec... mes enfants mangeaient dans mon assiette. Ce qui ne les a pas empêchés de se rouler dans les tagliatelles au canard avec un juste mélange de champignons et de chanterelles, de tomates cerises, de petits poids et de généreux morceaux de mozzarella.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.




