Twitter accuse le coup à Wall Street après l'abandon du rachat par Elon Musk
TVA Nouvelles
L'action de Twitter était bousculée lundi à Wall Street alors qu'Elon Musk se moquait ouvertement du réseau social après l'abandon de son projet de rachat de la plateforme pour 44 milliards de dollars et que le groupe se prépare à une bataille judiciaire.
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Le titre du site de micro-blogs lâchait 5,65%, à 34,41 dollars vers 9h, dans les échanges électroniques précédant l'ouverture de la séance officielle.
Il avait déjà perdu 5,10% vendredi et 29% au total depuis le 25 avril, quand le conseil d'administration du groupe a accepté l'offre de rachat de l'entrepreneur, déjà patron de Tesla et SpaceX.
Mais après plusieurs mois de rebondissements, M. Musk a fait savoir vendredi dans une lettre à Twitter qu'il mettait fin à cet accord, estimant que l'entreprise n'avait pas respecté ses engagements en ne communiquant pas la part de faux comptes et de spams.
Le réseau social affirme que le nombre de comptes inauthentiques est inférieur à 5%, un chiffre contesté par le multimilliardaire qui le juge beaucoup plus élevé.
Pour justifier son renoncement, M. Musk invoque aussi plusieurs récentes décisions de Twitter comme le gel des recrutements, contraire selon lui à l'obligation pour l'entreprise de continuer à fonctionner normalement.
Un propriétaire de logements signe un contrat de déneigement pour 2 ans. À son échéance, malgré le bon travail accompli du déneigeur, il décide de ne pas renouveler le contrat et de cesser de le payer en espérant qu’il allait continuer à gratter les cours de ses logements. Le déneigeur refuse de poursuivre bénévolement. Les locataires et leurs voitures sont laissés à eux-mêmes avec plusieurs pieds de neige. Qui les prend en otage? Le propriétaire ou le déneigeur?
Alors que la plupart des établissements scolaires misent sur des ventilateurs sur pied ou l’offre de collations glacées pour rafraîchir les espaces en l’absence de climatiseurs, d’autres disent avoir mis en place des solutions présentées comme innovantes, mais qui sont dans les faits plutôt simples.
Un élève de quatrième secondaire qui échoue en français peut tout de même passer en cinquième secondaire dans cette même matière l’année suivante. S’il réussit alors ce cours, on considérera aussi que l’élève a rétroactivement réussi celui de quatrième secondaire, a appris Le Journal. Cette pratique est dénoncée par des syndicats d'enseignants alors que le ministre Bernard Drainville ne ferme pas la porte à d'éventuelles modifications.