
Tout ce qu’on ne dit pas assez sur la magie de l’«air fryer»
Le Journal de Montréal
Oui, des frites et des ailes de poulet, c’est crousti-fondant comme j’aime dans l’air fryer, mais c’est loin d’être ce qui m’a fait tomber en amour avec mon électroménager. Ce qui nous a unis, c’est qu’il sert à plus de 85% de mes recettes et de mes touski.
En fait, mis à part faire bouillir du riz ou des pâtes, il fait presque tout ce que j’aime. Et je n’ai pas dit mon dernier mot sur ce point que j’ai envie de tester. À suivre!
Un mélangeur sert à 2% de ce que je cuisine, un panini press pas mal plus, un micro-ondes aussi. Mon George Clooney de la cuisine à air chaud m’a permis de me débarrasser de mon grille-pain, il frit à l’air sans surveillance puisque je ferme son tiroir et il fait son boulot jusqu’à ce que le bip-bip sonne. Son entretien? Je le nettoie en un coup d’éponge et une goutte de savon à vaisselle. Moins de vaisselle, donc moins de lave-vaisselle à faire marcher puisque je n’utilise pas de casserole ni de poêlon, moins de cuisinière, donc moins de consommation d’électricité, et une cuisson exquise. Le critère numéro un, sinon on n’en parlerait pas.
Voici sans plus attendre mes réjouissantes découvertes.
