Mort de Joyce Echaquan: le combat de son époux pour honorer sa mémoire
TVA Nouvelles
Un an après la mort tragique de Joyce Echaquan, la mémoire de cette mère de famille est toujours bien vivante dans la communauté autochtone de Manawan.
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Sur place, le portrait de la femme sur lequel on peut lire «Justice pour Joyce» est visible dans les fenêtres des maisons.
Mais pour les proches de Mme Echaquan, le deuil reste extrêmement difficile à faire en raison du sentiment d’injustice qui entoure la tragédie.
Et alors que Manawan pleure encore la mort de Joyce Echaquan, son conjoint Carol Dubé est reconnaissant du soutien que lui offre sa communauté depuis les événements.
Celui qui habite avec six de ses sept enfants tente d’honorer la mémoire de son épouse, notamment auprès de son plus jeune qui n’était âgé que de six mois lorsque la femme a perdu la vie.
«C’est mon énergie. Il va bien. Il commence à marcher. Je suis juste triste que mon bébé ne connaîtra jamais sa maman», dit-il en essuyant ses larmes.
«Je me fais beaucoup aider par le village aussi. Je trouve qu’on s’en sort assez bien», ajoute-t-il.
Parmi les personnes qui offrent de l’aide à la famille, il y a Marie-Marjolaine, la meilleure amie de Joyce Echaquan.
PUNTA CANA | Questionné par Le Journal sur place, le directeur de l’hôtel Bahia Principe Luxury Ambar a tenu à défendre les agissements de son personnel, affirmant que le jeune William Gareau était en état d’ébriété avancé avant le drame, alors qu’il s’était présenté au bar à 22 reprises en deux heures.