Maison ciblée à répétition à Laval: l’ombre du crime organisé libanais plane
TVA Nouvelles
Une série de fusillades et d'incendies criminels sur une résidence de Laval aurait pour origine un meurtre au Liban impliquant la mafia locale, mécontente qu'une de leurs têtes dirigeantes fasse l'objet d'une enquête là-bas.
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«Le fait qu’il soit recherché au Liban fait perdre de l’argent [à la mafia libanaise], la plainte lui fait perdre de l’argent», peut-on lire dans un rapport de la Sûreté du Québec, en lien avec les événements survenus sur une résidence de la rue des Nénuphars, à Laval.
Depuis un peu plus d’un mois, cette maison du quartier Sainte-Dorothée a été la cible au moins huit fois de criminels qui ont voulu incendier les lieux, en plus de tirer sur la devanture de la maison. Lors du passage du Journal ce lundi, des techniciens en scène de crime scrutaient les lieux, tandis qu’un véhicule présentant un impact de balle visible était remorqué afin de subir une expertise.
«C’est inquiétant parce qu’ici, c’est un quartier calme», a commenté une voisine qui a préféré ne pas s’identifier par crainte de représailles.
Selon nos informations, ces actes criminels s’inscrivent dans une tentative d’extorsion, en lien avec le meurtre au Liban du frère du propriétaire.
«Il a été assassiné par plusieurs projectiles d’arme à feu alors qu’il travaillait à sa station-service», indiquent les enquêteurs des crimes majeurs de la SQ dans leur rapport obtenu par Le Journal.
Les cours ont officiellement repris le mardi 14 mai dans les trois établissements du Cégep de Lanaudière, dont celui de L’Assomption où j’enseigne et où ma fille est étudiante. J’aurai donc traversé la semaine de suspension de cours comme professeure, mais aussi comme tous les parents de près de 7000 étudiants de la région.
Être l’un des meilleurs de son sport ne rime pas toujours avec millions de dollars dans le compte en banque et voitures de luxe. Plusieurs athlètes québécois, peu soutenus financièrement, en arrachent et font des sacrifices afin de pouvoir continuer à pratiquer leur discipline: travailler jusqu’aux petites heures du matin, renoncer à être propriétaire, dormir en pension lors des tournois...
GATINEAU | L’école secondaire Grande-Rivière, à Gatineau, est l’une des rares écoles secondaires publiques québécoises qui résistent toujours à l’envahisseur: le cellulaire y est interdit partout pendant la journée d’école, sauf exception. Alors que le gouvernement Legault réfléchit à élargir l’interdiction des téléphones intelligents à l’extérieur de la classe, Le Journal s’est rendu dans cette école secondaire pas tout à fait comme les autres.