Les 21 films en compétition au 75e Festival de Cannes
TVA Nouvelles
Actualisé après le changement de titre du film de Ruben Ostlund: «Sans Filtre» et non plus «Triangle of Sadness»
De Park Chan-Wook à Claire Denis, de David Cronenberg à Jean-Pierre et Luc Dardenne, voici les 21 films en compétition pour la Palme d'Or lors du 75e Festival de Cannes, qui se tiendra du 17 au 28 mai.
Le réalisateur de «Crash» (1996) n'a pas l'habitude d'épargner son public: à 79 ans, le Canadien devrait le prouver une fois de plus, avec ce film où il est question de transhumanisme et d'ablation d'organes avec Viggo Mortensen et Léa Seydoux.
Révélé à «Un Certain Regard» en 2018 avec «Border», le Danois d'origine iranienne suit une journaliste de Téhéran enquêtant sur une série de féminicides. Ces crimes seraient l'oeuvre d'un homme qui prétend purifier la ville de ses péchés.
Le plus grinçant des réalisateurs suédois brigue une deuxième Palme d'Or, après «The Square» (2017), avec cette comédie satirique où il suit les passagers d'une croisière de luxe, échoués sur une île déserte et dirigés par un capitaine de navire marxiste.
Après sa Palme d'Or pour «Une affaire de famille» (2018), le grand habitué de la Croisette a fait un pas de côté vers la Corée du Sud, embarquant la vedette de «Parasite», Song Kang-ho, pour une nouvelle histoire de familles, où il est question de boîtes à bébés.
Il a marqué la Croisette avec l'ultra-violent «Old boy» (Grand prix 2004); le Coréen Park Chan-Wook devrait de nouveau intriguer avec un enquêteur devant élucider le meurtre d'un homme, avec pour principal suspect: la femme de la victime.
Grande figure du cinéma indépendant, l'Américaine au cinéma minimaliste («First Cow») retrouve une de ses actrices fétiches, Michelle Williams, pour un film sur le quotidien d'une artiste et la manière dont elle puise dans sa vie pour son inspiration.
Après le succès du «Caire confidentiel» (2017), le Suédois d'origine égyptienne Tarik Saleh renoue avec son acteur fétiche, Fares Fares, et filme une lutte de pouvoir entre les élites religieuses et politique du pays.
Une cour espagnole a acquitté un homme de 20 ans issu de la communauté gitane accusé d’avoir violé une jeune fille de 12 ans qui est ensuite tombée enceinte de jumeaux, car le juge a estimé que la «relation» entre celui-ci et sa victime faisait «partie de la réalité de leur culture», rapporte le Daily Mail .