
Le Circuit électrique adopte une tarification en kWh
Le Journal de Montréal
Suivant l’exemple d’un nombre grandissant d’opérateurs de bornes de recharge pour véhicules électriques, le Circuit électrique pourra facturer les utilisateurs selon la quantité d’électricité fournie au véhicule en kilowattheures (kWh).
Ce changement, en vigueur à compter du 2 avril, s’inscrit dans le Règlement sur les tarifs d’utilisation du service public de recharge rapide pour véhicules électriques du gouvernement du Québec.
Plus précisément, le tarif d’utilisation des bornes de recharge rapide du Circuit électrique inclura dorénavant un prix selon la quantité d’électricité fournie en kWh. À partir du moment où la puissance fournie durant la recharge passe sous 10 ou 20 kW, selon le type de borne, un prix à l’heure sera facturé.
Aux bornes de 24 kW et de 50 kW, le tarif régulier devient 0,36 $/kWh, taxes incluses. Du côté des bornes de 100 kW, il augmente à 0,47 $/kWh lorsque la puissance livrée se situe entre 20 et 49 kW ou à 0,41 $/kWh lorsqu’elle est égale ou supérieure à 50 kW. Enfin, aux bornes de 100 kW et plus, le tarif varie de 0,41 $/kWh à 0,60 $/kWh selon la puissance fournie.
Pour en savoir plus sur la nouvelle grille tarifaire, il suffit de consulter le site web du Circuit électrique.
Par ailleurs, le Circuit électrique vient d’annoncer la mise en service de sa plus importante station de recharge rapide à la halte routière Sortie 228 – La Porte de L’Érable, située sur l’autoroute 20 à la hauteur de Saint-Louis-de-Blandford, dans le Centre-du-Québec.
Aux quatre bornes rapides de 50 kW déjà offertes à cette halte s’ajoutent huit bornes de 180 kW à puissance partagée et deux bornes de 350 kW de l’entreprise ABB E-mobilité. Le total de 2 340 kW de puissance à un seul et même endroit représente un sommet pour le Circuit électrique.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.


