La «règle Brendan Gallagher»?
TVA Nouvelles
«Neuf personnes sur dix peuvent regarder le but et dire qu’il est bon. Le problème, c’est que la personne qui reste est toujours celle de Toronto.»
C’est ainsi que l’attaquant des Canadiens Brendan Gallagher a commenté, au micro de TSN, la décision des arbitres (et de la ligue) de lui refuser le but qu’il a inscrit en première période, jeudi soir, contre les Hurricanes.
Pour plusieurs, ce but était tout à fait bon. Posté devant le filet, empiétant légèrement dans la zone bleue sans toutefois toucher le gardien, Gallagher a fait dévier un tir et a marqué.
Or, il semble que la règle officielle est que lorsqu’un joueur a un patin dans la zone du gardien de but et qu’il lui voile la vue alors qu’un but est marqué, ce dernier est refusé. Mais ce règlement est-il bel et bien toujours appliqué à la lettre?
Pour notre journaliste Renaud Lavoie, qui en a parlé à l’émission «JiC» vendredi, on parle ici de la «règle Brendan Gallagher». L’attaquant du CH, qui aime bien brasser la soupe devant le filet adverse, est-il le seul réellement visé par cette règle en raison de sa réputation?
Même s’il est le premier joueur à marquer 50 buts à 17 ans dans la LHJMQ depuis Sidney Crosby, Justin Poirier n’a pas été invité à la séance d’évaluation des espoirs, plus communément appelée «Combine», qui se tient traditionnellement chaque année à Buffalo avant le repêchage de la Ligue nationale de hockey.