
Kori Cheverie est la principale coupable de l'élimination de la Victoire Kori Cheverie est la principale coupable de l'élimination de la Victoire
TVA Nouvelles
Le mot coupable fait peur. Il peut paraître agressif, il peut avoir l’air dangereux et il est habituellement synonyme de mauvaises nouvelles.
Le Larousse définit coupable de la façon suivante: «Qui est responsable d'une faute, d'un mal, qui en est à l'origine, qui porte en soi l'entière responsabilité d'un mal».
Et lorsqu’une équipe se fait éliminer au premier tour des séries pour la deuxième fois en autant de saisons, après avoir terminé parmi les deux premières équipes en saison régulière à chaque occasion, il faut trouver les raisons et par conséquent, chercher des coupables.
Une équipe talentueuse comme la Victoire de Montréal ne s’écroule pas en séries par le fruit du hasard ou parce qu’elles n’ont «tout simplement pas pu envoyer ce petit caoutchouc noir derrière la ligne des buts» comme a semblé vouloir simplifier l’entraîneuse-cheffe Kori Cheverie après la rencontre de vendredi.
Je m’improviserai donc enquêteur pour les prochaines lignes et je vais débuter avec la première suspecte sur cette liste, celle que je viens de citer, Coach Cheverie.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











