Il reste plus de 9000 espèces d’arbres à découvrir
TVA Nouvelles
Des chercheurs ont estimé que le nombre d’espèces d’arbres sur Terre était significativement plus élevé que celui actuellement connu, avec plus de 9000 espèces restant à découvrir, selon une étude publiée lundi.
Or «estimer le nombre d’espèces d’arbres est essentiel pour guider, optimiser et prioriser les efforts de préservation des forêts sur le globe», soulignent ces travaux, publiés dans la revue de l’Académie nationale des sciences des États-Unis (Pnas) et auxquels ont participé des dizaines de scientifiques.
Quelque 64 100 espèces d’arbres ont déjà été répertoriées.
Mais selon ces travaux, dont les estimations s’appuient sur une base de données plus complète et une méthode statistique plus avancée qu’auparavant, le nombre total d’espèces serait d’environ 73 300, soit 14 % de plus.
Cela signifie qu’environ 9200 espèces n’ont pas encore été découvertes.
De façon générale, environ 43 % de toutes les espèces se trouvent en Amérique du Sud, suivie de l’Eurasie (22 %), de l’Afrique (16 %), puis de l’Amérique du Nord (15 %) et de l’Océanie (11 %), selon l’étude.
De la moitié aux deux tiers de toutes les espèces déjà connues se trouvent dans les forêts humides tropicales ou subtropicales, sur les cinq continents, estiment les chercheurs.
Une grande partie des espèces restant à identifier devraient ainsi se trouver dans ces régions, où moins de relevés sont effectués.
Par ailleurs, près d’un tiers des espèces mondiales sont qualifiées de rares par les scientifiques, avec une faible population et se trouvant dans des régions limitées. Ces espèces sont ainsi plus vulnérables à une menace d’extinction.
Ce ne sont pas toutes les nouvelles constructions d’écoles qui ont prévu un système pour rafraîchir les classes. Certains bâtiments qui ont à peine une dizaine d’années n’ont ni climatisation, ni géothermie, ni aérothermie, révèlent les données obtenues par Le Journal. Ce genre d’exemples a de quoi faire sursauter plusieurs parents et enseignants qui jugent que le Québec est mûr pour une stratégie globale, tandis que le ministère de l'Éducation s’en remet à la bonne volonté des organismes scolaires.
Dans notre société, la façon dont sont perçus les enseignants est très variable. Pour certains, ils sont des gens dévoués qui portent le réseau scolaire public à bout de bras. Pour d’autres, ils sont d’éternels « chiâleurs » syndiqués grassement payés. Si cette dernière hypothèse était vraie, on peut se demander alors pourquoi il n’y a pas plus d’individus qui veulent travailler dans nos écoles...