
Fraisiers en pot et champignon mycorhizien
Le Journal de Montréal
Chères lectrices et chers lecteurs, si vous le voulez bien, commençons cette nouvelle année par des réponses aux nombreuses questions horticoles que vous m’avez posées ces derniers mois.
R. La culture des fraisiers en pot est assez facile. Ce sont des plantes très adaptables qui peuvent pousser dans divers types de sols à condition qu’ils soient légers, frais et bien drainés. Lorsqu’on les cultive en contenant, il est souhaitable de leur fournir un terreau riche de haute qualité, composé de compost et de tourbe de sphaigne.
Comme les fraisiers n’ont pas besoin de beaucoup d’espace, on peut facilement les cultiver en panier suspendu, dans une boîte à fleurs ou même sur un mur végétalisé.
On peut aussi retrouver sur le marché horticole des contenants cylindriques érigés comportant de multiples trous, appelés «tours à fraises», dans lesquels les fraisiers poussent particulièrement bien. On peut facilement fabriquer soi-même ce genre de tours pour cultiver des fraises à partir de vieux tuyaux récupérés.
Les pots en textile épais – dont les pores sont remplis d’air – assurent une meilleure isolation des racines durant l’hiver. Pour augmenter les chances de survie de vos fraisiers, arrosez-les abondamment en octobre et, plutôt que de les laisser sur la terrasse ou le balcon, vous pouvez les déplacer et les disposer directement sur le sol vers la fin de novembre. N’hésitez pas à les recouvrir de feuilles mortes ou de neige.
En outre, il est préférable de tailler les rhizomes – sortes de tiges rampantes émises par la plupart des fraisiers – pour éviter l’épuisement des plants et favoriser leur productivité. Toutefois, rappelez-vous que vous aurez à remplacer certains plants tous les trois ans – ou chaque année s’ils n’ont pas survécu à l’hiver –, puisque la productivité des fraisiers diminue ou cesse carrément après quelques années.
Si l’idée d’avoir à faire la gestion des stolons ne vous réjouit pas, vous pouvez faire l’essai du fraisier alpin. Il s’agit d’un fraisier très florifère qui produit sans arrêt, de la fin du printemps jusqu’à l’automne, des petits fruits savoureux de forme allongée. Cette plante compacte, qui ne forme pas de stolons comme les autres fraisiers, est parfaitement rustique jusqu’en zone 3.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.



