
Des os, un tableau et tout un duo!
Le Journal de Montréal
Après avoir confié une première enquête à un tandem mal assorti de policiers, l’auteur J. L. Blanchard récidive dans une histoire encore plus palpitante.
Est-ce parce qu’on s’y est fait ou qu’on s’y attendait ? Mais le duo Lamouche et Bonneau créé par J. L. Blanchard semble plus crédible dans son nouveau roman Les os de la méduse qu’il ne l’était dans Le silence des pélicans, paru l’an dernier.
Dans son précédent ouvrage, l’auteur manifestait déjà son talent pour les intrigues accrocheuses. Mais son inspecteur Bonneau était si gaffeur, ignare, pétri de préjugés et lent d’esprit qu’on était au-delà de la caricature. L’enquêteur Lamouche, pour sa part brillante et arrogante recrue, lui avait été imposé afin de le pousser à prendre sa retraite.
Mais les deux hommes ont su s’accommoder l’un de l’autre – et Blanchard entend faire durer son curieux tandem ! Cela nous vaut donc une seconde enquête sous leur direction. Heureusement, Lamouche a gagné en profondeur. Et si Bonneau est encore dessiné à traits épais, il nous semble moins bousculer le récit.
Un rééquilibrage parfait pour que l’intrigue domine. Et elle en vaut la peine !
Comme dans le roman précédent, le livre ouvre sur une scène forte. Dès la première page, on est face à un cadavre décharné qui « se tenait bien droit sur une chaise, les jambes croisées, attendant patiemment que quelqu’un se décide à ouvrir cette porte de placard ». La femme de ménage s’en chargera.
C’est ainsi qu’on entre dans une luxueuse demeure montréalaise, de surcroît habitée par un comte, comme on en trouve dans les Vieux pays. L’homme n’a pas qu’une noble ascendance, il est aussi très riche et grand collectionneur, notamment de tableaux.
rebondissements
Le monde de l’art sera d’ailleurs au cœur des rebondissements du récit, et une toile célèbre prendra la vedette : Le radeau de la Méduse. Le tableau original, signé de Géricault, est exposé au Louvre, mais le comte de Clairvaux en a une copie qui vaut son pesant d’or.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.


