Dévoilement du jeu vidéo Cauchemars d’octobre
Le Journal de Montréal
Appelé Cauchemars d’octobre, le nouveau jeu du studio Chien d’Or se consacre sur la crise d’Octobre, l’événement sociopolitique qui a ébranlé tout le pays quand des extrémistes indépendantistes ont kidnappé un diplomate britannique et le ministre provincial Pierre Laporte. Une action qui, on se rappelle, a poussé le parlement canadien à décréter la Loi sur les mesures de guerre.
En développement depuis une année, le jeu sera officiellement dévoilé lors d’une soirée spéciale au Tambour du Ste-Cath. Le studio annoncera par la même occasion une campagne de sociofinancement sur la plateforme Kickstarter afin de mener à bien ce projet unique dans l’univers du jeu vidéo.
Dans ce jeu, « explorez un quartier montréalais dans les années 70, enquêtez sur un phénomène surnaturel qui inflige des cauchemars à ses résidents et plongez dans les profondeurs du monde des rêves pour sauver leur peau. Cauchemars d'octobre est un jeu d'horreur « cosmique » en pointer-cliquer à la première personne où l'exploration se mélange à la résolution d'énigmes ».
Ici, l’adjectif « cosmique » réfère au cosmicisme, une philosophie littéraire développée par l’écrivain américain Howard Philips Lovecraft qui stipule qu’il n’y a pas de présence divine connaissable dans l’univers. Lisez la suite très intéressante sur Wikipédia.
Vous pouvez voir ici la présentation exclusive du projet sur la plateforme YouTube.
Tout près de la ville de Québec, un autre monde s’ouvre à vous à la traversée du fleuve : l’île d’Orléans. Elle a vu passer nos ancêtres, a inspiré Félix Leclerc, et est une terre d’accueil pour de nombreux maraichers et vignerons qui créent des produits extraordinaires. En voiture, en moto ou à vélo, faites le tour de l’île à travers ces 6 activités gratuites ou pas chères.
Et à bon prix, en plus! Trois vins blancs légers (autour de 12%) et joliment parfumés qui pourront bien arroser votre fin de semaine sous le soleil. On débute avec un petit aligoté pas piqué des vers. On poursuit avec un l’archétype du blanc de bistro à avoir toujours sous la main. Pour terminer, je vous propose un petit chablis qui n’a rien de petit.