
Conversations avec Kevin Costner: sa carrière hollywoodienne, ses succès, ses échecs, ses amours
Le Journal de Montréal
L’acteur et réalisateur oscarisé, Kevin Costner, souvent considéré comme un sex-symbol dans les années 1990, a un parcours épique. Avec pour bagage une cinquantaine de films, il est doté d’une volonté ferme de réussir et de donner le meilleur de lui-même. Son parcours, son charisme et sa vie personnelle sans scandale lui ont valu une bonne réputation. Malgré ses nombreuses qualités, si on devait lui en attribuer une seule, à la lecture de cette biographie, ce serait certainement son perfectionnisme qui flirte avec un côté idéaliste au plus profond de son être.
L’auteure et journaliste italienne, Silvia Bizio, a eu la chance de s’entretenir à plusieurs reprises avec Kevin Costner lors de ses tournages. Puis, un jour, elle a rencontré Pietro Ricci, un grand fan de l’acteur possédant des tonnes de cassettes d’entrevues que Costner a accordé ici et là sur plus de 40 ans. Ainsi est née l’idée de Kevin par Costner. Non seulement le principal concerné a apprécié le livre, il en a même signé la préface.
«C’est difficile pour moi d’accepter que le film ne puisse pas rester fidèle à lui-même juste pour gagner une plus grande part du public», écrit l’acteur. La qualité du travail étant beaucoup plus importante que les recettes au box-office. On comprend que l’acteur de 69 ans applique ce même principe dans sa vie personnelle ne voulant pas nécessairement plaire à tout prix.
Si Costner durant toute sa carrière a joué la carte de l’humilité en faisant preuve de maturité, son enfance a été différente et difficile.
Il voit le jour en 1955 à Lynwood, une banlieue ouvrière de Californie, et sa famille déménage à maintes reprises, l’obligeant à changer continuellement d’écoles en raison du travail de son père.
Ayant du mal à se faire une place à l’école, il devient bagarreur et se fait souvent renvoyer. Ses notes sont médiocres. Il souffre d’un sentiment d’infériorité et d’insécurité. Il prendra ensuite sa place grâce aux sports, football et base-ball, où il excelle.
Jamais, durant son enfance, il n’aurait pu imaginer devenir acteur, apprend-on.
«J’ai toujours aimé le cinéma, mais une carrière cinématographique ne me semblait pas un choix réaliste», confie l’acteur.
Il fait des études en marketing. Un jour, il rencontre dans un avion l’acteur Richard Burton avec qui il s’entretient. Il n’en faut pas plus pour qu’il laisse son job en publicité et amorce une série de cours d’art dramatique.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.






