
Charles Bertrand: le combat d’une vie contre l’hyperphagie
Le Journal de Montréal
Le poids, c’est rarement qu’une histoire de chiffres. Il raconte une histoire, un vécu, sa relation complexe avec la nourriture, qui prend racine dès l’enfance.
Dans ce témoignage touchant, découvrez le parcours de Charles Bertrand, un homme sensible qui vit avec un trouble de comportement alimentaire. Il nous raconte avec franchise les victoires, les rechutes, et s’ouvre sur les outils qu’il a appris à utiliser pour se relever. Une histoire d’endurance, de résilience et d’espoir, qui illustre à quel point le chemin vers une relation apaisée avec la nourriture peut être long et difficile.
Charles, quelle est ton histoire de poids?
J’ai toujours eu un problème de poids, à la fin de la cinquième secondaire, je pesais 275 livres. J’ai grandi dans un HLM, je n’ai pas manqué d’amour, mais notre situation financière était très précaire, nous n’avions pas d’extra, même si cela provenait du Dollarama. Pour nous récompenser, ma mère nous servait parfois un bol de chips. Pendant toute mon enfance, la façon de célébrer une réussite, c’était avec une barre de chocolat ou un bol de chips. Peu à peu, mon cerveau a associé les aliments réconfortants à la notion de récompense. Une fois adulte, j’avais les moyens de m’offrir ces «récompenses» tous les jours... même quand il n’y avait rien à célébrer.
En 2017, tu t’es inscrit pour l’audition de l’émission Maigrir pour gagner, quelle a été l’influence de ce parcours sur ton poids?
Je n’ai pas été sélectionné pour l’émission, mais l’animatrice, Chantal Lacroix, a lancé le défi aux candidats qui ont participé à l’audition de faire le parcours par eux-mêmes et proposé que tous se retrouvent lors de grands rassemblements une fois par mois afin de voir l’évolution de chaque participant. Nous n’avions pas accès à la nutritionniste et aux entraîneurs comme ceux qui participaient au show télé, donc on devait prendre nos propres ressources. J’étais alors à 350 lb pour une taille de 5 pi 11 po. J’avais essayé maintes fois de perdre du poids, mais j’avais cette fois la motivation de le faire. J’ai perdu 155 lb en neuf mois et, à la fin de l’émission, c’est moi qui avais perdu le plus grand pourcentage de poids corporel, soit 45%.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.


