
«Une soupe aux pois dans l’eau»: un test rapide pour détecter les algues bleu-vert
Le Journal de Montréal
Grâce à un outil d’analyse de l’ADN des lacs, les Québécois pourront bientôt savoir en temps réel si leur lac est contaminé par des algues bleu-vert.
Faut-il éviter de se baigner lorsqu’un épisode de cyanobactéries (algues bleu-vert) est observé? À l’heure actuelle, beaucoup de riverains ne savent pas sur quel pied danser, car les analyses du ministère, quand il y en a, prennent du temps.
«La façon de détecter des cyanobactéries, au laboratoire, est vraiment longue, ça se fait au microscope et ça prend quatre jours alors parfois il est trop tard pour intervenir», explique Stéphanie Lord-Fontaine, vice-présidente de Génome Québec.
Au lac Maskinongé, dans Lanaudière, chaque épisode de cyanobactéries entraîne la fermeture complète ou partielle de la plage municipale. «On ne peut pas prendre de chance, explique Daniel Coulombe, président des Amis du lac Maskinongé dans Lanaudière. Ça prend trop de temps d’obtenir les résultats.»
Or, il est crucial de savoir si les cyanobactéries observées produisent des toxines.
«Lorsqu’il y a des toxines et qu’elles se retrouvent dans l’eau, c’est ce qu’on appelle les efflorescences. C’est comme la soupe aux pois et on ne se baigne pas», ajoute Mme Lord-Fontaine.
Depuis 2018, la surveillance des cyanobactéries au Québec est réduite au strict minimum. Le ministère ne publie plus de bilan annuel et ne se déplace pas systématiquement sur le terrain.
Pour l’année 2024-2025, malgré 197 signalements, seuls sept plans d’eau ont été inspectés et quatre cas d’efflorescences de cyanobactéries ont été confirmés.
En comparaison, en 2007, 275 lacs avaient été inspectés et des efflorescences de cyanobactéries avaient été rapportées pour 167 d’entre eux, selon les données du ministère.

Le web est rempli de créations dont le but est de répondre à ces questions commençant par « et si…? ». L’intelligence artificielle de nos jours facilite bien sûr les choses, mais il faut aussi souligner le travail de nombreux artistes du numérique, comme nous l’avons vu avec ces sept véhicules issus d’un univers parallèle.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.









