
«J’ai cessé de prendre la pilule sans lui en parler, car je sais qu’il ne serait pas d’accord, vu qu’il ne veut plus d’autres enfants.»
Le Journal de Montréal
Aussi loin que je recule dans ma vie, je n’ai jamais eu envie d’avoir d’enfant. Ma vie amoureuse en dents de scie a également contribué à garder muette ma fibre maternelle. Rendue à 42 ans, j’ai fait la connaissance de mon conjoint actuel qui est père de quatre enfants. Deux dans la vingtaine et deux adolescents.
Les deux ados sont encore sous la garde du père qui a 55 ans. J’ai rarement vu un homme combinant aussi bien des qualités masculines que féminines. À force de le regarder aller avec ses flos, je me suis mise à envisager d’en avoir un avec ce père idéal.
Mais dès notre première rencontre, il m’avait clairement dit qu’il était rendu à un stade où, comme sa famille est complétée, il voulait profiter de la vie avec une femme dans mon genre qui apprécie les mêmes loisirs et qui n’est pas obsédée par l’idée d’avoir un bébé.
J’ai cessé de prendre la pilule sans lui en parler, car je sais qu’il ne serait pas d’accord, vu qu’il ne veut plus d’autres enfants. De mon côté je me dis que si la vie veut que je tombe enceinte, on verra dans le temps comme dans le temps. Même que ça pourrait être une belle surprise!
Ma sœur à qui j’en ai parlé n’est pas d’accord. Mère de deux enfants, avec le même homme depuis l’adolescence et bien plus straight que moi, elle prétend qu’on ne peut pas jouer ainsi dans le dos d’un gars. Comme elle vous lit chaque jour, elle jure que vous allez penser comme elle. Et c’est pour le savoir que je vous écris.
Anonyme
Votre sœur a bien évalué la réponse que je m’apprête è vous donner. Cet homme a montré ses couleurs avec franchise dès le début de votre relation et vous lui devez la même franchise en retour. Je ne crois pas que lui réserver ce genre de surprise soit signe d’une volonté de partage de votre part. Elle ressemblerait plus à un dictat. La vérité a bien meilleur goût dans une relation à deux qui se veut honnête et équilibrée.

Le magazine américain Consumer Reports vient de publier son nouveau classement annuel des marques automobiles et des modèles avec la meilleure fiabilité anticipée. L’exercice se base sur un sondage auprès de propriétaires et des données sur plus de 380 000 véhicules des années 2000 à 2025 (et quelques 2026) en tenant compte de 20 catégories de problèmes. Un pointage est ensuite attribué sur une échelle de 100.

Non, la Mazda3 ne se renouvelle pas pour l’année modèle 2026. La prochaine génération devra attendre encore, finalement. Si certains consommateurs seront déçus, la division canadienne de Mazda ne s’en plaindra pas, elle qui a vu les ventes de sa voiture compacte augmenter de 46% durant les trois premiers trimestres de 2025 par rapport à la même période de l’année précédente.

Le retour du V8 HEMI de 5,7 litres dans le Ram 1500 (et celui du V8 HEMI de 6,4 litres dans le Jeep Wrangler) pour l’année modèle 2026 a beaucoup défrayé les manchettes. Même s’il existe des options plus modernes et plus performantes comme le Hurricane à six cylindres biturbo chez Stellantis, de nombreux conducteurs restent accrochés à la mécanique à huit cylindres, notamment pour une question de son et de sensation.


