Une entente de principe conclue entre Québec et les pharmaciens en centres hospitaliers
TVA Nouvelles
Une entente de principe a été conclue lundi entre le gouvernement Legault et l’Association des pharmaciens des établissements de santé du Québec (APES), dont la convention de travail était échue depuis plus d’un an et demi.
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L’accord trouvé entre les deux parties se concentre sur le renouvellement des conditions de travail des 1700 pharmaciens représentés par le syndicat.
«L’entente permet notamment de reconnaître l’apport essentiel des pharmaciens d’établissements dans la qualité des soins offerts aux usagers du réseau de la santé et des services sociaux, par des services pharmaceutiques efficaces, adaptés et sécuritaires», a indiqué Christian Dubé, ministre de la Santé et des Services sociaux, par voie de communiqué.
Le contenu de l’accord n’a pas été dévoilé et il demeurera confidentiel jusqu’à ce qu’il soit adopté par les membres de l’APES.
«Nous sommes convaincus que cette entente est gagnante pour les pharmaciens visés et bénéfique pour l’ensemble des Québécoises et des Québécois», a souligné la ministre responsable de l’Administration gouvernementale et présidente du Conseil du trésor, Sonia LeBel.
Les pharmaciens réclamaient principalement la pérennisation des mesures de rémunération temporaires, qui constituent de 20 à 50% de leur salaire, selon l’APES.
À cause du manque d’avancées dans les négociations, le syndicat avait demandé l’intervention du ministre Dubé dans le dossier au début du mois.
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