Une centaine de lapin en liberté sèment la pagaille à La Tuque
TVA Nouvelles
Une centaine de lapins ont envahi le secteur de La Croche, à La Tuque, se baladant en liberté depuis plusieurs mois, une situation qui force la municipalité de la Mauricie à agir face aux plaintes pour mettre fin à la prolifération des petites bêtes.
Le problème ne daterait pas d’hier puisque plusieurs citoyens ont demandé à la Ville de trouver une solution lors de la dernière assemblée publique du conseil de quartier qui a eu lieu le 30 janvier dernier.
Si trois plaintes officielles au sujet des lapins ont été reçues dans le système de plaintes et requêtes via Info-Service, le conseiller municipal du secteur a régulièrement été abordé par les citoyens sur cette situation, a expliqué Hélène Langlais, cheffe de service aux communications de la Ville.
La municipalité a donc décidé d’engager un trappeur afin qu’il dépose des cages dans la partie urbaine du secteur pour capturer les bêtes, d’après un avis envoyé la semaine dernière aux résidents de La Croche.
«L’opération de capture des lapins sera réalisée dans les prochaines semaines et durera tant que le problème ne sera pas réglé», a affirmé la Ville.
D’après les dernières estimations de la Ville, près d’une centaine de lapins en liberté se trouveraient à cet endroit.
«L’explication la plus plausible, c’est que quelqu’un a relâché ses lapins dans la nature parce qu’ils ne voulaient plus s’en occuper», a avancé Mme Langlais, qui a toutefois indiqué ne pas avoir de preuve en ce sens.
«C’est aussi peut-être des lapins qui se sont sauvés», a-t-elle ajouté au sujet de ces animaux qui se reproduisent très rapidement.
L'homme d'affaires Peter Sergakis déplore la détérioration de la situation de l’itinérance à Montréal et interpelle le premier ministre, la mairesse de Montréal, le chef du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le responsable de l'urbanisme de la Ville dans une lettre à laquelle l’Agence QMI a eu accès.
J’ai 22 ans et, comme tous les jeunes de ma génération, j’ai grandi avec les médias sociaux. Pendant notre enfance, nos sociétés se sont lancées dans une grande expérience dont nous avons été les cobayes, alors que l’on ignorait les conséquences de ces plateformes sur notre développement et notre santé mentale. Maintenant que s’amorce un réveil collectif sur cette question, notre génération doit avoir son mot à dire.