Les frais d’inscription au hockey explosent pour des familles de Lanaudière
TVA Nouvelles
Des parents de Lanaudière sont en furie devant une hausse majeure des frais d’inscription pour leurs enfants dans une ligue de hockey mineur.
La Ville de l’Assomption a récemment modifié sa politique pour l’inscription des non-résidents aux sports de glace dans son aréna. La surprime réclamée par la municipalité qui s’élevait à 550 dollars en 2018 passe maintenant à 1082$.
Les jeunes hockeyeurs de Charlemagne, Saint-Sulpice et L’Épiphanie doivent se rendre à L’Assomption pour pratiquer leur sport, puisque leurs municipalités ne disposent pas des infrastructures nécessaires.
Or, les parents des jeunes sportifs ont reçu cette semaine un avis mentionnant que leur municipalité, qui assumait jusqu’ici la totalité de la surprime, a décidé de limiter sa participation financière à 500 dollars par participant.
Les familles se retrouvent donc avec un montant de près de 600$ qui s’ajoute aux frais d’inscriptions qu’ils étaient habitués de payer.
Or, plusieurs d’entre eux décrient cette hausse soudaine et significative. Certains ont mentionné vouloir inscrire leur enfant ailleurs, alors que d’autres envisagent de lancer une pétition.
L’organisation sportive qui chapeaute le hockey dans la région, Hockey mineur CCL, affirme être en discussion avec les maires des municipalités concernées pour trouver un moyen de soulager les jeunes hockeyeurs et leurs familles.
Pour voir les explications complètes, visionnez la vidéo ci-haut.
Deux manifestations, une propalestinienne, l’autre pro-israélienne, ont eu lieu jeudi après-midi près du campement en soutien à Gaza érigé sur le terrain de l’Université McGill.Une contre-manifestation pro-Israël est en cours sur le campus de l’Université McGill, où se trouve depuis près d’une semaine un campement en soutien à la Palestine.
Demande d’injonction rejetée: «McGill n’a pas pesé fort dans le débat», selon un constitutionnaliste
L’Université McGill n’a pas fait tout ce qu’elle aurait pu pour appuyer la demande d’injonction contre le campement propalestinien qui a été refusée mercredi, selon le professeur en droit constitutionnel à l’Université Laval Patrick Taillon.