Les agences de voyages sont débordées d’appels
TVA Nouvelles
L’abolition des tests rapides aux frontières pour les voyageurs doublement vaccinés donne du vent dans les voiles aux agences de voyages, chez qui le téléphone ne dérougit pas depuis l’annonce.
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Chez CAA-Québec, c’est la folie à un point tel que l’organisme manque de mains pour répondre à la clientèle qui veut prendre des informations ou réserver un voyage.
« On voit le nombre d’appels augmenter drastiquement et c’est partout dans nos centres de voyages. On est tellement occupé que l’on est à la recherche de nouveaux conseillers et agents de voyages », fait valoir Andrée-Anne Déry, porte-parole.
Bien que cette dernière exigence pour voyager soit moins contraignante pour les gens adéquatement vaccinés, elle pouvait quand même déranger.
« Ça restait un frein pour les voyageurs, mais là, il ne reste plus grand-chose pour les empêcher de voyager », poursuit Mme Déry.
Chez Voyages Paradis, c’est également l’effervescence.
L'homme d'affaires Peter Sergakis déplore la détérioration de la situation de l’itinérance à Montréal et interpelle le premier ministre, la mairesse de Montréal, le chef du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) et le responsable de l'urbanisme de la Ville dans une lettre à laquelle l’Agence QMI a eu accès.
J’ai 22 ans et, comme tous les jeunes de ma génération, j’ai grandi avec les médias sociaux. Pendant notre enfance, nos sociétés se sont lancées dans une grande expérience dont nous avons été les cobayes, alors que l’on ignorait les conséquences de ces plateformes sur notre développement et notre santé mentale. Maintenant que s’amorce un réveil collectif sur cette question, notre génération doit avoir son mot à dire.