Les 11 plus mémorables tempêtes depuis 1800
TVA Nouvelles
Avant 1760, on ignore tout des tempêtes survenues en Nouvelle-France, mais dès 1800, des journaux font état des tempêtes de neige ; ce sont les faits divers de l’époque.
« Avec le Kamtchatka, en Sibérie orientale, la vallée du Saint-Laurent est le pays aux hivers les plus neigeux du monde », estime l’historien Jean Provencher.
En chiffres absolus, le record appartiendrait à une région située à une vingtaine de kilomètres au nord de Québec, soit environ 4 mètres de neige par année.
1. « Six pieds de neige » à Montréal
« La plus importante tempête de neige rapportée par les documents est celle des 17 et 18 janvier 1827. En 48 heures, il tomba à Montréal six pieds de neige (près de deux mètres) ; à certains endroits, il se forma des bancs de douze à quinze pieds de haut. » Source : Les quatre saisons dans la vallée du Saint-Laurent, p. 400.
2. L’hiver de la grande neige, 1828-1829
On surnomme « l’hiver de la grande neige » celui de 1828-1829. Cette année-là, la neige commence à tomber au début de novembre et s’accumule jusqu’au printemps. « Jamais on n’avait vu autant de neige ! Une telle abondance obligea les bûcherons en forêt à des fatigues extrêmes », écrit Jean Provencher dans Les quatre saisons dans la vallée du Saint-Laurent. En ville, les travailleurs des chantiers navals passent plus de temps à chasser la neige qu’à se consacrer à leur besogne.
LES PLUS IMPORTANTES ENTRE 1900 ET 1950
3. 1903 - Québec : 67 cm en quatre jours
Alors que la plupart des établissements scolaires misent sur des ventilateurs sur pied ou l’offre de collations glacées pour rafraîchir les espaces en l’absence de climatiseurs, d’autres disent avoir mis en place des solutions présentées comme innovantes, mais qui sont dans les faits plutôt simples.
Un élève de quatrième secondaire qui échoue en français peut tout de même passer en cinquième secondaire dans cette même matière l’année suivante. S’il réussit alors ce cours, on considérera aussi que l’élève a rétroactivement réussi celui de quatrième secondaire, a appris Le Journal. Cette pratique est dénoncée par des syndicats d'enseignants alors que le ministre Bernard Drainville ne ferme pas la porte à d'éventuelles modifications.
Une foule de personnes s’est déplacée à l’École nationale d’aérotechnique (ÉNA) à Saint-Hubert pour assister à la nouvelle édition de l’Aérosalon 2024. Les nombreuses familles présentes ont eu la chance d’assister à des spectacles aériens ainsi que d’observer une soixantaine d’aéronefs en exposition.