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La PLSQ version 2.0
Le Journal de Montréal
La Première ligue de soccer du Québec (PLSQ) amorcera sa 11e saison au début du mois de mai et le circuit est en pleine ébullition.
De cinq équipes au départ, on en compte maintenant une douzaine, dont deux nouvelles cette saison.
« Ç’a été un beau problème, on a refusé sept clubs qui voulaient entrer cette année. Il y a un gros engouement, les gens veulent faire partie de la Première ligue », souligne le directeur général de Soccer Québec Mathieu Chamberland.
« Ce qu’on veut, c’est limiter le nombre d’équipes pour avoir le plus possible des équipes de qualité. »
Inversion
On peut donc dire que le circuit semi-professionnel a grandi à belle allure et qu’on a surtout assisté à une inversion des pôles depuis dix ans.
« À une époque, on tentait de convaincre les gens d’embarquer dans la ligue et la tendance s’est inversée », reconnaît Chamberland.
« Ça va peut-être nous forcer à revoir notre modèle pour nous assurer que les gens se sentent inclus tout en gardant le côté qualitatif de la ligue. »
Car une croissance rapide doit être gérée et celle-ci passe peut-être par la création de deux divisions.