
L'unique parcours de Carey Price vu de l'intérieur
TVA Nouvelles
Le 15 avril dernier, Carey Price disputait un premier match de hockey dans la Ligue nationale depuis le 7 juillet 2021. On parle d’une séquence d’inactivité d’exactement 282 jours.
Tout au long de la saison, même s’il n’était pas en uniforme, le no 31 du CH a constitué l’un des principaux sujets de discussion à Montréal. Pourquoi? Parce qu’il est spécial.
Vendredi dernier, la nouvelle de son retour au jeu, alors que le CH croupit depuis octobre (!) dans les bas-fonds du circuit, s’est rapidement transformée en éclipse médiatique. Pourquoi? Parce qu’il est spécial.
«Il est spécial». Tellement facile à dire/écrire, clameront certaines personnes. En effet. Mais Carey Price a, depuis son arrivée chez les pros en 2007, accumulé les arguments pointant en faveur d’un tel statut. Il est carrément devenu le visage des Canadiens.
Et comme vous le verrez plus bas, ce n’est pas l’auteur de ces lignes qui le dit.

Les hockeyeurs qui représenteront leur pays aux Jeux olympiques de Milan-Cortina d’Ampezzo, en février prochain, devront, semble-t-il, s’adapter à une nouvelle réalité: la patinoire construite pour les épreuves de hockey serait plus petite que celles qui correspondent aux standards de la Ligue nationale de hockey.

Alexander Karmanov fait 7 pieds 3 pouces sur patins et ce n’est même pas une échalotte. À 17 ans, il pèse 280 lb. Mettons quand même une chose au clair, le plus grand hockeyeur au monde aspire à bien plus que devenir votre bête de cirque. Il est capable de jouer et il a une chance réelle de passer à l’histoire dans la LNH.











