Il y avait «beaucoup de criage» dans la résidence, selon une amie
TVA Nouvelles
Le couple formé par Andréanne Ouellet, victime du 15e féminicide cette année, et son conjoint vivait des difficultés, mais selon une amie, les deux souhaitaient travailler sur la relation.
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En entrevue à TVA Nouvelles, Julie Leclerc a notamment expliqué «qu’il y avait beaucoup de criage» dans la résidence de Saint-Donat.
«Ils avaient envie de s’en sortir les deux parents, ils étaient sur la bonne voie, un bon travail... Ils disaient: ''on va faire ce qu’il faut pour s’en sortir''. Il y avait beaucoup d’espoir et d’amour là-dedans», se dit convaincue Mme Leclerc rencontrée près de la maison familiale mercredi matin.
La dame a également indiqué qu’elle pouvait prendre soin des cinq enfants qui se retrouvent aujourd’hui sans mère.
«Si quelqu’un a besoin d’aide, je suis là pour eux», a-t-elle ajouté.
Elle reconnaît que les chicanes étaient nombreuses au sein du couple, mais n’a jamais été témoin de violence physique.
«Je n’ai jamais vu lever la main, ou entendu parler qu’il avait frappé quiconque. [...] Il y avait beaucoup de criage par exemple, c’est sûr», admet Julie Leclerc.
