Des robots pour pallier la pénurie d’employés
TVA Nouvelles
Dans le but de remédier à la pénurie de main-d’œuvre qui les frappe, des entreprises se tournent désormais vers la robotisation de leurs installations pour se sortir la tête de l’eau.
En effet, 14 % des compagnies manufacturières profiteraient d’opérations industrielles robotisées afin de fonctionner convenablement.
«Les robots peuvent faire les tâches manuelles et les humains peuvent se concentrer ailleurs», a mentionné Francis Lamontagne, actionnaire chez OptiMach.
Si ces employés automatisés peuvent sembler hors de portée, ceux-ci s’avèrent plus accessibles qu’on le croit et l’offre s’adresse autant aux grandes industries qu’aux petites entreprises.
«Certains robots peuvent coûter seulement quelques dizaines de milliers de dollars», a affirmé Francis Lamontagne.
Bien que certains produits robotiques peuvent obliger les propriétaires à débourser plusieurs millions de dollars, les robots n’en demeurent pas moins un jeu qui en vaut la chandelle, selon l’actionnaire, et ce, même si la rentabilité pour certains modèles ne se fait sentir qu’après quelques années.
«Si tu obtiens ton retour d’argent en trois ans pour un employé manquant, ensuite le robot est encore bon pour une vingtaine d’années», a ajouté M. Lamontagne.
De plus, si un mince pourcentage d’entreprises utilise présentement les services de ces employés robotisés, le Groupe FP Technologies observe déjà une forte croissance.
En cette Journée mondiale des parents, les bibliothèques publiques québécoises tiennent à lever leur chapeau à tous les parents. Que ce soit en leur apprenant à nouer leurs lacets, à pratiquer leurs multiplications en doublant une recette ou à lire leur livre préféré, le dévouement pour leur bien-être permet d’entrevoir un avenir plus radieux, où chaque enfant grandirait avec les mêmes chances de réussite.
PUNTA CANA | Questionné par Le Journal sur place, le directeur de l’hôtel Bahia Principe Luxury Ambar a tenu à défendre les agissements de son personnel, affirmant que le jeune William Gareau était en état d’ébriété avancé avant le drame, alors qu’il s’était présenté au bar à 22 reprises en deux heures.