De gros défis pour rendre l’accès à l’avortement en région
TVA Nouvelles
Depuis le renversement de Roe V. Wade, le Canada se vante de protéger le droit à l'avortement aux femmes, mais dépendamment de leur lieu de résidence, elles n'ont pas le droit au même accès.
Sur tout le territoire du Bas-St-laurent et de la Gaspésie, seules les villes de Rivière-du-Loup, Rimouski et Gaspé offrent ces services.
«Le droit n’égale pas l’accès et c’est important de se rappeler qu’il y a des provinces comme le Nouveau-Brunswick où l’accès est plus difficile», mentionne la cofondatrice des Passeuses, Mélina Castonguay.
La distance et les transports sont au cœur des principales préoccupations des femmes. Pour contrer ce problème, plusieurs militantes vont de l’avant avec des initiatives fortes d’espoir.
«Ici en Gaspésie, il y a seulement à Gaspé que l’avortement chirurgical est pratiqué, donc pour les femmes qui viennent d’un peu plus loin ont une logistique supplémentaire comme les frais de déplacement et la prise de journée de congé au travail», souligne l’agente de la Table de concertation des femmes de la Gaspésie-îles-de-la-Madelaine, Léa Blouin.
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C’est une grosse semaine pour Québec solidaire, allant de la démission de la co-porte-parole Émilise Lessard-Therrien lundi à celle de deux directeurs proches de Gabriel-Nadeau Dubois vendredi. Si le co-porte-parole a admis s’être posé beaucoup de questions cette semaine, ses électeurs s’en posent tout autant.
J’aimerais vous raconter l’histoire de mon éditrice, Ariane Caron-Lacoste. C’est une maman solo qui a réussi à mettre 17 000$1 de côté en 2023 – sur un salaire de 65 000$ – en appliquant les conseils d’épargne qui se trouvent dans mon livre Elle investit: bâtir sa richesse grâce à la Bourse. Je suis tellement fière d’elle!