COVID-19: Incendies, violences et pillages en Guadeloupe
TVA Nouvelles
Le président français Emmanuel Macron a lancé lundi un appel au calme en Guadeloupe, en proie à des violences urbaines et des pillages, face à la «crise très explosive» dans cette île des Antilles françaises.
• À lire aussi: EN DIRECT | Les derniers développements sur le coronavirus
• À lire aussi: La pandémie a endommagé le tissu social
• À lire aussi: Les Allemands seront «vaccinés, guéris ou morts» à la fin de l'hiver
Le premier ministre Jean Castex doit de son côté recevoir lundi les élus de l'île où des renforts policiers ont été dépêchés.
La Guadeloupe, frappée de plein fouet par l'épidémie du COVID-19 l'été dernier, est secouée depuis une semaine par un mouvement né de la contestation de l'obligation pour les soignants de se faire vacciner contre le COVID-19, qui a dégénéré en crise émaillée de nombreuses violences.
En marge d'un déplacement à Amiens, dans le nord de la France, le président Macron a assuré la Guadeloupe de la «solidarité» de la nation et demandé à «ne rien céder au mensonge et à la manipulation par certains de cette situation».
«On ne peut pas utiliser la santé des Françaises et des Français pour mener des combats politiques» et «il faut que «l'ordre public soit maintenu», a-t-il souligné, insistant sur «une adhésion croissante à la vaccination» sur l'île, malgré l'opposition d'une «toute petite minorité».
Armes occidentales utilisées sur le sol russe: Poutine met en garde contre des «conséquences graves»
Le président russe Vladimir Poutine a mis en garde mardi contre l'usage d'armes occidentales visant le territoire russe, évoquant le risque de «conséquences graves», au moment où le débat ressurgit dans les chancelleries alliées de l'Ukraine.